Au service de Maryse... Bon anniversaire !
Datte: 12/03/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
cadeau,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
rasage,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
jouet,
uro,
Auteur: Mcguil83, Source: Revebebe
... talons reposent sur le plateau.
J’admire une nouvelle fois ce sexe complètement rasé. Maintenant, elle sera vraiment complètement nue quand elle ne portera pas de culotte sous ses vêtements.
— Ne me dis pas que tu n’as pas aimé, la table va s’en souvenir et nous aussi quand nous boirons le café ensemble ici-même ! Mais moi je n’ai rien eu, alors comment imagines-tu la suite ? Ma queue ne veut pas rester sur le quai à attendre le prochain départ !
— Je vois, mais la position n’est pas très à mon avantage. Donne-moi ton sexe, je vais m’en occuper.
J’approche ma verge de sa bouche pour qu’elle me pompe le piston. Je n’ai pas encore éjaculé mais je suis mouillé de plaisir par toutes ses péripéties, rasage, photos, pénétration du cul et du vagin, on en serait à moins !
Sentant mon plaisir atteindre le point de non-retour, je sors mon pieu de sa bouche et je le plante directement dans son vagin en tirant Maryse par les chevilles et en passant ses jambes par-dessus mes épaules. Le but final ne se fait pas attendre devant un tel spectacle, j’éjacule violemment dans sa chatte rasée.
Maryse m’avoue qu’elle ne s’est jamais sentie aussi bien et heureuse depuis que je m’occupe de son corps.
∞ ∞ ∞ ∞ ∞
Après une pause réparatrice autour d’un café, nous échangeons nos impressions très érotiques. Il n’est pas encore 11 heures et Maryse a envie de vivre pleinement ce jour anniversaire :
— Que m’as-tu réservé d’excitant pour moi et mon corps maintenant ?
— La ...
... sodomie, tu connais ? L’as-tu déjà pratiquée ?
— Non jamais, tu sais mon mari n’était guère imaginatif et, à part faire l’amour comme un lapin quand il en avait le besoin, son imagination ne vagabondait jamais. Je suis même persuadée qu’il n’a jamais pensé à me tromper.
— Et toi, l’as-tu trompé ?
— Non plus, tu sais à l’époque on n’y pensait pas, quand on était marié, c’était jusqu’à la mort…
— … (grand blanc…)
— … et cela fait trente ans !
— As-tu un fantasme que tu souhaites réaliser aujourd’hui ?
— J’aimerais que tu me prennes comme une chienne si tu veux bien.
— En levrette ?
— Oui, viens dans la chambre, nous serons plus à l’aise.
Je découvre la pièce que je connais bien pour y faire le lit et le ménage régulièrement. Cette chambre possède un grand lit de deux personnes, une armoire avec des portes à glace et, dans un angle, une commode avec quatre tiroirs où est remisée toute la lingerie fine de Madame.
Maryse se positionne perpendiculairement dans la largeur du lit face à l’armoire à glace, s’agenouille les bras tendus devant, bien à plat, le cul en l’air, les fesses ouvertes de manière obscène mais tellement désirable. Placé debout derrière, j’attrape ses hanches, approche son corps jusqu’à ma verge bandée au maximum et j’introduis mon gland directement sans ménagement dans le vagin qui se présente à ma hauteur. Bien lubrifiée de partout, j’en profite pour lui caresser l’anus de mes doigts experts et je ne prive pas de lui introduire un, puis deux, puis trois ...