1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (11)


    Datte: 12/03/2020, Catégories: Transexuels Auteur: tomy83, Source: Xstory

    Popol joue au périscope, ce qui fait rire Malika. Elle susurre quelque chose à Maria. Elle tourne la tête et me regarde avec envie. Je sens que mon heure est venue.
    
    Elles se mettent à l’eau par les escaliers, à ma gauche. Je les regarde. Leur démarche est chaloupée, sensuelle. Elles ont de l’eau jusqu’aux hanches pour Malika, jusqu’aux seins pour Maria. Elles s’approchent lentement, repoussant irrémédiablement l’issue fatale pour Popol. Malika, en bonne copine, cède le passage à Maria. Elle se place derrière elle en lui palpant les seins.
    
    — Vas-y, fais-toi plaisir. Deux ans de frustration, deux ans d’abstinence. C’est long. Regarde-la bien. Une femme avec un sexe qui palpite que pour toi, c’est pas beau. Regarde-la, elle réclame sa jouissance. Elle perle que pour toi.
    
    — Hum. Fit Maria quand elle lui pinça les tétons.
    
    Je relève mes jambes à fleur d’eau. Maria me les caresse. Elle avance doucement vers l’objet de ses désirs. Mon sexe est à la limite de la rupture, gonflé à bloc. Maria sort sa langue, part de mes couilles jusqu’à mon gland et récupère le miellat qui commence à couler. Elle s’en délecte en soupirant.
    
    — Alors ?
    
    — Hum, que c’est bon...
    
    Elle met mon gland dans sa bouche et joue avec mon frein, mon anneau et mon méat. Elle reprend sa caresse buccale là où elle fut interrompue plus tôt dans la journée. Maria ferme les yeux et se concentre sur sa fellation. En experte, elle bave son mon chibre qui est bientôt gluant. Ses mains n’ont pas quitté mes ...
    ... cuisses. Celles de Malika s’acharnent sur les tétons dressés de Maria. Elle gémit sur mon sexe.
    
    — Je la veux dans ma chatte, implore la vieille Grecque.
    
    Un petit clin d’œil de Malika me fait comprendre de sortir de l’eau. Je m’allonge sur un des transats qui bordent la piscine. Le sexe fier attend la venue du sexe bouillant de Maria. Elle me chevauche et descend lentement, inexorablement vers l’objet de tous ses désirs. Le contact de ses lèvres, la moiteur, la chaleur qui s’en dégage m’irradient. Elle s’est arrêtée comme figée par ce touché tant attendu. Je lève mon bassin et rentre mon pieu jusqu’à la garde. Elle ouvre en grand la bouche, aussitôt envahie par la langue de Malika.
    
    Elle ne bouge pas, c’est moi qui imprime le rythme, lent, tout doucement pour qu’elle accepte la douce caresse de mon membre sur ses parois intimes. Je ne me serais pas imaginé qu’une presque septuagénaire puisse mouiller autant, sa cyprine me dégouline le long de mon sexe, sur mes valseuses, pour finir sur le transat. Une petite tape sur la cuisse de Malika et elle m’enjambe pour me donner son fruit à déguster. Ça y est, la vieille se lâche enfin. Elle me donne tout. Les bruits de pénétrations, de succions résonnent à mes oreilles. Je ne bouge plus. Maria s’empale sur mon dard et Malika joue à se frotter sur tout le visage. Maria exulte. Des mots prononcés en grec, en français, voire en italien, sortent.
    
    — OUIIII, C’EST BON, défonce LA VIEILLE PUTAIN QUE JE SUIS....
    
    — Ouiii, chérie, ...
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