1. Baby-sitting (4)


    Datte: 12/03/2020, Catégories: Transexuels Auteur: Sam Botte, Source: Xstory

    ... bain.
    
    J’eus un nouveau choc lorsqu’elle revint 30 secondes plus tard, vêtue en tout et pour tout de la culotte noire au pompon de fourrure, avec ses bas et sa lingerie blanche à la main, tendus en offrande!
    
    Je voulus mettre immédiatement le slip brésilien, afin de le sentir encore chaud sur mon sexe et mon entrejambe. Je dus pour cela retrousser haut la jupe, car l’élastique arrivait au-dessus des hanches. Il avait cependant l’avantage de contenir toute la longueur de mon érection pourtant imposante, seuls les testicules débordaient un peu de chaque coté de l’étroite bande de polyamide qui me passait entre les jambes.
    
    Pendant que j’agrafai le porte-jarretelles et les bas, elle alla chercher dans la commode le soutien-gorge assorti (qu’elle-même n’avait pas jugé bon de porter pour la soirée) et en profita pour se rhabiller aussi : elle portait à présent le jean en cuir noir, un sweat-shirt blanc à même la peau et les boots beiges à hauts talons.
    
    — Vous avez encore moins de poitrine que moi, faites quelque chose…
    
    Elle avait esquissé un léger sourire en prononçant ces mots, et me tendit de quoi rembourrer le soutien-gorge. Je ...
    ... commençais à me demander si sa colère n’était pas simplement un exutoire à une très grosse déception. La hargne qu’elle avait manifestée en me promettant de me faire revivre sa soirée me laissait à penser que son rendez-vous avait du tourner à la catastrophe…
    
    Je m’assis sur le lit pour enfiler les bottes, puis le chemisier en satin. Mon sexe me faisait presque mal, tant il était tendu : je n’aurais même pas osé fantasmer sur le fait de porter les vêtements encore tièdes que cette femme si sexy avait sur elle à peine une minute plus tôt, et pourtant!
    
    "C’est ce qu’on appelle déshabiller Pierre pour habiller Paul… ou plus exactement, déshabiller Ghislaine pour habiller Sam" pensai-je silencieusement.
    
    Elle m’invita à la précéder :
    
    — Passons dans le salon, je vous suis.
    
    Au passage, elle entrouvrit la porte pour s’assurer que son fils dormait toujours paisiblement.
    
    Je m’efforçais de ne pas faire de trop grands pas et de poser mes pieds l’un devant l’autre, comme sur une ligne invisible, mais sans toutefois "tortiller du cul" de manière outrageuse. Je sentais son regard dans mon dos, cela me stressait et m’excitait tout en même temps. 
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