1. Expériences homosexuelles


    Datte: 31/03/2018, Catégories: ff, fff, hh, fsoumise, fdomine, hdomine, Oral donjon, attache, yeuxbandés, fouetfesse, sm, Auteur: Domibec, Source: Revebebe

    ... brutalement, ce qui fait rire la femme. Elle tient à la main une longue tige métallique qui se termine par une grosse poignée que Mathilde tient dans sa main.
    
    — Allons, allons, petite ! Couchée, j’ai dit !
    
    Et elle repose la pointe de la tige sur le corps de Léa. Nouvelles petites décharges saccadées… Pas très puissantes ces décharges… Mais pas très agréables non plus….
    
    Mathilde se met face à sa soumise, pose son objet sur le sein droit… Éléonore se crispe… La femme s’attarde puis change de sein… Léa voit les muscles des cuisses bander, ses lèvres, ses fesses s’ouvrir et se resserrer… La femme bourreau fait glisser la pointe sur le ventre, les côtés de la fille… Qui a des mouvements de recul, de résistance, autant que ses entraves le lui permettent…
    
    Lentement la femme contourne la jeune fille et pose maintenant le bout de la tige sous une fesse qui se contracte… Puis sur l’autre… Puis elle la fait pénétrer dans le sillon et la fait glisser lentement de haut en bas… Puis de nouveau… Plusieurs fois… avant de l’enfoncer dans l’anus… d’y aller et venir… Éléonore est toute crispée… Elle gémit à travers son bâillon… Est-ce de la douleur ou éprouve-t-elle du plaisir. Inquiète mais aussi fascinée, Léa voudrait bien le savoir.
    
    Mathilde s’est remise devant, un genou au sol pour mieux voir ce qu’elle fait… Comme Léa l’avait imaginé, la pointe électrique s’accapare maintenant du sexe. Elle fait lentement le tour des grandes lèvres avant de tourner autour du clitoris puis ...
    ... de se poser dessus en y imprimant de minuscules petits cercles…
    
    Tout le corps de la fille n’est que tremblements, crispations… Elle crie à travers son bâillon… Un premier jet de cyprine arrose le visage de Léa. Puis un autre… L’objet reste en place, insiste… Éléonore n’est plus que fontaine… Elle crie, elle gémit, elle se contorsionne…
    
    Léa est trempée de la cyprine. Elle ouvre la bouche, l’étale sur son corps avec les mains…
    
    Mais tout s’arrête. Mathilde fait tomber son instrument de torture par terre, s’approche d’Éléonore et la prend dans ses bras, la caresse sur tout le corps… La jeune fille retrouve sa respiration petit à petit.
    
    — Allons, Léa, debout ! Venez ici, face à vos amies. Vous êtes la seule de nous quatre à ne pas avoir encore joui, mais ne vous inquiétez pas, ça va venir.
    
    Et elle entreprend d’attacher Léa comme le sont Anne et Éléonore ; les bras en croix au-dessus de la tête attachés à des cordes descendant du plafond, jambes écartées maintenues par une barre métallique. Mathilde s’approche d’Anne, enlève son bâillon et en couvre les yeux. Elle fait de même avec Éléonore et va chercher une autre bande de tissu dont elle couvre les yeux de Léa.
    
    — Je vous laisse un instant. Ne vous échappez pas, surtout.
    
    Et les trois femmes l’entendent sortir de la cave et monter les escaliers…
    
    — Ça va Éléonore ?
    — Oui, ça va bien… Et toi Léa ?
    — Ça va ! Mais elle me fait peur, cette femme… Elle est folle !
    — Mais non, elle est gentille. Elle fait un peu ...
«12...8910...»