1. DRAGUÉ PAR UN HÉTÉRO


    Datte: 11/03/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... Il y a des filles qui en ont peur, et qui ne veulent pas.
    
    Moi : Ouai, je comprend un peu, c'est du très lourd.
    
    Tony : Toi aussi ça te fait peur de te la prendre dans le cul ?
    
    Moi : Moi euh ! Même pas peur ! Les filles c'est des petites natures, moi je suis un mec ! Je suis ton homme !
    
    Tony : Je préférerais une fille !
    
    Moi : Je suis ta fille alors si tu préfères.
    
    Il rigolait.
    
    Tony : Tu es un marrant toi, je ne savais pas que tu étais comme ça.
    
    Moi : Tu devais bien t'en douter un peu, non ? Au moins un petit peu !
    
    Tony : Par contre on est clair, tu ne m'encules pas et je ne te suce pas !
    
    Moi : C'est d'accord mais dans ce cas il y aura une condition.
    
    Tony : Une condition ?
    
    Moi : Tu n'auras pas droit à ma quéquette !
    
    Il me regardait, visiblement sans comprendre.
    
    On terminait le verre que nous avions devant nous et on sortait. Je jetais un œil avant que son manteau ne se referme, on la voyait bien sa queue au travers de son pantalon, on voyait bien sa forme, elle était énorme, j'étais à la fois terriblement excité et un peu effrayer. Là il y avait de quoi faire du dégât.
    
    Je n'habitais pas très loin du bar ou on était, un petit quart d'heure plus tard on arrivait. On entrait, on se mettait à l'aise, il retirait son manteau, je retirais mon blouson, j'enlevais mes chaussures il se retrouvait pieds nus. Je lui ouvrais sa chemise, il me laissait faire. Je le prenais dans mes et lui donnais un baiser dans le cou. Il semblait hésiter puis ...
    ... refermais ses bras sur moi, il m'embrassait à son tour.
    
    On se caressait, nos lèvres se rencontraient, encore une hésitation puis ce sont nos langues qui se caressaient. Il se détendait, je l'avais senti un peu crispé au début mais ça semblait lui passer. Il se décidait à me retirer mon T-shirt. On était torse nue. Il avait de la fourrure sur tout le corps, comme moi. Je suis du genre nounours moi, et lui c'est pareil.
    
    Je le caressais partout sur le corps et je le couvrais de baiser. Il m'encourageait en me rendant mes caresses et il m'embrassait également.
    
    Tony : Tu avais raison, c'est pas violent. J'aime bien comment tu es doux et tendre …
    
    Je le faisais taire en l'embrassant sur la bouche, je me serrais contre lui et j'en profitais pour lui ouvrir son pantalon, il laissait tout tomber sur le sol, d'un mouvement rapide des pieds il repoussait son pantalon et le reste un peu plus loin. Il était nu devant moi, il était nu dans mes bras.
    
    Je sentais quelque chose qui remontait entre mes cuisses, je m'écartais lentement, regardait, elle était belle et là je ne veux pas seulement dire grosse. Il en avait une belle, grosse, sa formes et ses proportions étaient parfaites, sa taille était effrayante. Il devait donner pas loin des vingt cinq centimètres sur six je dirais mais c'est à peu près. Vous imaginez bien que là j'ai pas osé mesurer !
    
    Je m'accroupissais et sans hésiter lui suçais le gland, il était circoncis, j'adore. Je le sentais il sursautait, sans doute parce ...
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