I - Liaisons dangereuses (17) - Histoires de Sexe

I - Liaisons dangereuses (17)

... pourquoi pas, d’autant que pas plus tard que cette semaine, Marion m’avait relancé sur le sujet ! C’est pour ça que j’étais certaine que quand elle saurait qui tu es, sa timidité fondrait comme neige au soleil une fois que tu serais à moitié à poil sous ses doigts !!

Denise me sourit.

— Mais Marion est vraiment…., dis-je en mimant une petite taille à l’aide de ma main ;

— Mini ? Oui hein, tu as vu, c’est un pin’s !! dit Denise avant d’éclater de rire. Des fois je le lui dis, histoire de la faire maronner !!

— Pourquoi ? Elle complexe par rapport à sa taille ?

— Elle aimerait paraître plus adulte surtout !! T’imagine même pas le nombre de fois où on lui demande sa pièce d’identité pour justifier son âge !!

— Oui, je me doute très bien !! Mais bon, ça ne l’empêche pas d’être très excitante malgré tout !!

— Ça c’est clair !! C’est ce que je lui dis sans cesse, et je suis content que tu relèves ça, je lui répéterais, en espérant que ça finisse par la convaincre que ce n’est pas la taille qui compte !!

Je rigole avant de rajouter :

— Et Madame Guillestre, elle n’a rien entendu ?

— Oh non, elle est un peu dure d’oreille, puis elle n’arrêtait pas de parler en plus !! Par moment, on entendait quelques gémissements et claquements de peau, mais ça restait mesuré ;

— Oh, ça va alors !!

— En tout cas, ça m’a bien excitée vos bêtises !!

— Ah, ben c’est toi qui a poussé au derrière pour ça hein !!

— Certes mais bon, la journée risque d’être longue ...

... maintenant…

Je me penche au-dessus du comptoir, vers Denise, et lui dit :

— Tu sais Denise, si tu veux, je peux te soulager hein…

Je pose ma main sur sa jambe et commence à la caresser, remontant lentement vers le haut de sa cuisse. Elle décroise ses jambes et je viens alors titiller sa chatte à travers son pantalon.

Elle me regarde droit dans les yeux en poussant un long soupir.

— Tu n’imagines même pas à quel point ta proposition est tentante, mais il y a du monde qui va arriver et je ne peux pas me le permettre ;

— T’es sûre ?

Je passe alors mes doigts sous son vêtement et descend jusqu’à arriver à sa chatte qui, effectivement, est bien humide. Je la caresse délicatement et constate que, contrairement à l’autre fois, je ne sens aucun poils.

— Tiens, tu as décidé de t’épiler !

— Tu n’aimes pas ?

— Si, mais la petite toison que tu avais l’autre fois ne me dérangeait pas du tout….

— C’est moi qui ai épilé Marion, pas plus tard qu’hier, tu as aimé son minou et son anus bien lisses ?

— Oh oui, elle était délicieuse, mais il y a une différence notable avec ta chatte ;

— Ah bon ? Et laquelle ?

— Avec la sienne, je ne peux pas aussi facilement faire ça….

Au même moment, je viens introduire quatre de mes doigts en elle, ce qui a le don de la faire se redresser et pousser un petit cri de surprise. La chatte de Denise est à l’opposé de celle de Marion, elle est bien plus généreuse et épaisse avec des lèvres bien charnues déjà entrouvertes ...