1. L'abnégation de ma mère à la maison de retraite (3)


    Datte: 10/03/2020, Catégories: Hétéro Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Sous les jupons de l’Eglise.
    
    Mémoires de ma mère.
    
    Après avoir appris le décès de Mr Abdelkader suite à leurs ébats, ma mère repensait à tout ce qu’elle avait accepté de faire, elle, la veuve exemplaire, manifestant toujours une dévotion chrétienne un peu trop excessive pour mon goût. (Lire : l’abnégation de ma mère à la maison de retraite).
    
    Ma mère, prise de remords, décida d’aller se confesser. Que va dire le père Jean, vieux curé de la paroisse lorsqu’elle va lui confesser les dépravations auxquelles elle s’est livrée, oh bien sûr, à son corps défendant.
    
    Comme elle faisait aussi le ménage chez Monsieur le curé de la paroisse à l’église et à la sacristie, elle lui demanda d’aller à confesse, espérant trouver un réconfort moral, mais cela risquait d’avoir une influence pour le moins désastreuse sur leurs rapports.
    
    La pénitente se dirigea vers le confessionnal et entra dans le compartiment prévu à cet effet.
    
    Quelques instants plus tard, le curé entra dans le confessionnal et ouvrit le volet, un grillage et la porte habillée d’un rideau épais ne laissant passer que peu de lumière, il s’adressa à ma mère :
    
    — Je vous écoute, ma fille, énumérez-moi vos péchés.
    
    Alors, tout en pleurant à chaudes larmes sous ses airs innocents et prudes, elle raconta cette journée de débauche à la maison de retraite, ne cachant aucun détail si elle voulait qu’il l’absolve de ses péchés. Elle énuméra tout ce qu’il lui était arrivé. L’acceptation de la fellation administrée à ce ...
    ... vieil homme aux mains baladeuses, dont elle a été obligée d’avaler la semence jusqu’à la dernière goutte et ce qu’il a suivi et pour finir, l’acception de se faire prendre par ce vieux bouc qui a labouré son intimité avec son soc monstrueux avant de s’attaquer à son cul.
    
    — Vous en avez retiré du plaisir ma fille ? interroge le prêtre après un long silence.
    
    — Ou..... Oui... mon Père, je... Je confesse que j’y ai pris du plaisir, plus que je ne devrais, répondit-elle. Mon émoi devant le sexe disproportionné de ce vieux Maghrébin, mon refus au début, mais le plaisir ressenti de me faire saillir par un tel étalon, moi, une femme grosse et plus très jeune, je ne croyais plus connaître ça un jour !
    
    Le curé, éminemment troublé par l’énoncé de tant de dépravations, eut une érection fortuite issue de la confession intime de sa pénitente, mais voulut s’en retourner vers Dieu pour tenter de réfréner ses pensées peu dignes de son sacerdoce. Il voudrait expier ses péchés d’avoir de si mauvaises pensées. Mais contre toute attente, comme Don Camilllo, voilà que Jésus lui-même lui répondit, le fustigeant de ces ridicules flagellations et l’encourageant à donner à cette paroissienne comme acte de contrition de jouer avec le gros cierge qui vrille son bas-ventre. Mais il résista au vice en s’enfuyant à la sacristie après avoir donné l’absolution à la pénitente. En plus des « Ave » et des « Notre Père », elle devra récurer à genoux la sacristie.
    
    Ma mère quitta le confessionnal. Une ...
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