1. COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (1/13)


    Datte: 10/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... déjeuner, je dois prendre mon temps de repos.
    
    - Je sais Gaston, tu oublies que c’est moi qui gère vos disques.
    
    - Veux-tu un morceau de pain avec du saucisson ?
    
    Séréna m’en a préparé pour le voyage avec des chips et un gros morceau de gâteau sicilien à l’orange et aux amandes.
    
    Je comprends mieux pourquoi Gaston à un ventre venant toucher son volant.
    
    C’est vrai qu’une fois dans l’entreprise, je l’ai entendu dire à Pedro le chauffeur d’origine espagnol.
    
    « Mes couilles pour les apercevoir ça fait trente ans que je dois les regarder dans une glace.
    
    Séréna elle aime les hommes bien en chair, avec moi elle est servie.
    
    Heureusement qu’elle suce comme une reine. »
    
    J’aimerais bien les voir baisés, ils ont le même embonpoint morbide tous les deux.
    
    Certains de ses copains l’appellent « petit fût » bien que depuis que je travaille avec lui, c’est toujours de l’eau que je l’ai vu boire comme il le fait en ce moment.
    
    Je me demande comment est son sexe, est-il ressemblant à son ventre, comme je crains aussi les foudres de Séréna je suis loin d’essayer de le savoir ?
    
    - Anne, tu veux t’allonger, je vais dormir appuyé sur mon volant, il m’arrive quelquefois de dormir comme ça quand je suis trop fatigué.
    
    - Non, descend ma valise, je vais aller faire un brin de toilette à la station.
    
    Dors, j’ai fait un petit somme après Valence.
    
    - Je sais malgré la radio et le bruit du moteur, je t’ai entendu ronfler.
    
    - Tu rigoles moi ronfler.
    
    - Bien sûr je ...
    ... rigole.
    
    Il prend ma valise à roulette derrière lui et la pose hors du camion.
    
    Il le contourne et vient m’ouvrir la portière.
    
    Il me prend la main.
    
    - Descends à reculons, tu vas pouvoir tenir la poignée, à ta droite, je vais t’aider.
    
    Prestement je saute au sol, j’ai beau avoir mon âge, je suis encore souple.
    
    - Et tu en profiteras pour me mettre la main aux fesses.
    
    - Ça va, j’aurais essayé.
    
    - Au risque de te faire couper les couilles.
    
    - Séréna est loin si tu te tais et moi aussi, qui le saura ?
    
    - Que crois-tu, je le saurais et c’est moi qui te couperai les burnes.
    
    Je prends ma valise et d’un pas alerte, je vais vers la station.
    
    Ah ! ces chauffeurs, ils profitent de chaque occasion et bien sûr il a pu me tâter mes fesses au passage.
    
    Quel coquin !
    
    Je vais dans les toilettes pour femmes bien sûr, je pose ma valise et je l’ouvre.
    
    J’enlève mon pantalon, une femme entre, je vais changer ma petite culotte dans les toilettes, je suis un peu pudique.
    
    Ma valise possède deux parties, je sors mes chaussures à talons hauts que je mets avec ma jupe, je dirais mini.
    
    J’ai des cuisses bien fermes, pratiquant mon jogging en salle l’hiver et dans les parcs de la ville l’été.
    
    L’avantage d’habiter à la campagne.
    
    Je garde mon chemisier, je dois être un peu pute !
    
    Je sais que je vais une nouvelle fois faire baver Gaston, mais la chaleur montante tant espérée incite à se dénuder.
    
    Je ressors ayant tendance à bomber le torse et je fais la queue ...