La naufragée de la route (2) - Histoires de Sexe

La naufragée de la route (2)

ELYNE

Que m’arrive-t-il ? Quel est donc cet homme ?

Il exerce une emprise puissante sur moi... mon corps le cherche, le réclame alors que mon esprit refuse de lui appartenir !

Je suis coincée sous cette enveloppe charnelle, mes tétons si sensibles vibrent au contact de sa main experte.

Mon sexe devient de plus en plus humide à chaque pression exercée.

Sa langue expérimentée vient jouer avec la mienne me laissant haletante.

J’essaie de repousser en vain cet homme dont je ne connais absolument rien mais je n’y arrive pas.

Il est si puissant... il m’hypnotise entièrement...

Que m’a-t-il fait ?

Il a dû sûrement me droguer... et pourtant, moi, si méfiante d’habitude envers les étrangers, je n’ai rien vu venir ! Quelle idiote !

GERMAIN

Pendant que, tout en l’embrassant, je prends possession de la superbe poitrine d’Eline, de mon autre main, j’ouvre entièrement son peignoir. Du coin de l’œil, je jauge ma future nouvelle soumise : un joli corps à la peau légèrement hâlée, de belles jambes fuselées surmontées d’un mont de Vénus renflé et lisse... C’est une recrue de premier choix !

Je contourne le canapé pour m’installer à côté d’elle, et au passage, j’en profite pour lui ôter son peignoir.

— Que me faites-vous faire, me demande-t-elle sans conviction ? Vous profitez de la situation.

— Cacher un aussi beau corps est un crime, lui dis-je, vous pouvez vous fier à mon expérience d’artiste. Et un tel corps ne peut qu’être consacré au plaisir, ...

... sans limite.

Je lui parle doucement, au creux de l’oreille, et ma main descend sur son ventre. Malgré un petit "oh" faussement scandalisé, elle n’oppose aucune résistance, lorsque j’ouvre la fourche de ses cuisses. Et lorsque mes doigts se glissent entre ses petites lèvres, son petit bouton dressé et sa fente humide me confirment son désir et son abandon.

— Vous voyez que j’ai raison, lui dis-je. Au fond de vous-même, n’avez-vous pas envie d’être mon amante ? De vivre une aventure qui vous fasse découvrir un monde de plaisirs sans limites ?

— Si... admet-elle d’une petite voix.

— Bien. Je vais donc vous indiquer les règles que vous devrez respecter, pendant que nous mangerons un peu pour prendre des forces. Allez dans la cuisine, et ramenez ici le plateau que j’ai préparé.

Sans protester, Elyne se lève, et se dirige, en tenue d’Eve, vers la cuisine. Ma potion, le caractère imposant de ma demeure, et les circonstances font d’elle une proie offerte, sans défense, comme prévu.

Je l’admire de nouveau, lorsqu’elle me rejoint en portant le plateau. Sa silhouette est ravissante, sa démarche naturellement provocante, et les pointes de ses seins - trahissant l’excitation qu’elle ressent - dardent d’une manière étonnante sur de jolies aréoles sombres et bombées. Une pure merveille.

— Restez debout, et servez-moi Elyne.

Sans rechigner, elle verse dans le verre que je lui tends un grand bourgogne, puis, sur un ordre bref de ma part, elle se sert également. Nous ...