Chroniques immortelles (34)
Datte: 08/03/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Irina, Source: Xstory
Ares – ou Maître Wong, comme vous voulez – a soigné son apparence physique. Il est musclé juste ce qu’il faut, avec des pectoraux marqués, des bras et des jambes aux muscles généreux, un torse velu sans excès. On chercherait en vain un peu de graisse excédentaire. Est-ce son véritable aspect, celui de ses origines ? Chut, me dira t-il plus tard, laisse rêver mes fidèles. Il transpire la virilité par toutes ses pores et sa testostérone me fait un effet de chienne !
Les femmes et moi, l’avons suivi au bras de la reine, au bord de la piscine. Elles l’ont déshabillé et se dénudent déjà elles aussi, les yeux étincelants, la bouche gourmande. Bon sang ! Je ne me rappelle pas avoir jamais vu une telle foule de femmes en chaleur. C’est surréaliste ! Mais quoi attendre d’autre chez cette assemblée de personnes aux désirs exacerbés ?
Et puis d’autres femmes m’entourent, souriantes et soupirantes, me déshabillent à mon tour. Mais elles attendent quelque chose de ma part… Et merde, moi qui avait la chatte tellement humide… Je me transforme, prend mon identité masculine, celle de Cyrille, le « frère » de Christine, faisant naître des murmures admiratifs au sein de mon escorte féminine. Bon, OK, j’ai un peu triché, en poussant musculature et pilosité pour approcher l’image qu’affiche Ares.
Bizarrement, quelque chose change dans mon cerveau. Homme je suis devenu, homme j’assurerai la fonction. Et le désir, un désir bien masculin s’empare de moi. Ares m’a envoyé un clin d’œil. « ...
... Pense à recharger au fur et à mesure » me dit-il « sinon, tu ne pourras pas tenir la distance ! ». Je comprend vite…
Les femmes nous ont allongé. Et c’est la curée… Les unes après les autres, elles se ruent sur nous, réclament nos faveurs. Je suis déjà raide comme une barre de fer et une femme s’est empalée sur moi, s’agite sur ma queue en soupirant et gémissant. Pendant qu’elle s’agite ainsi, d’autres se sont allongées à coté de moi, me caressent, m’embrassent, prennent possession de ma bouche de mon torse. Je sens des mains courir sur mon corps, s’insinuer entre mes jambes, chercher mes boules.
Une furie orgiaque s’est emparée de l’assemblée. Les femmes nous réclament les unes après les autres avec insistance. Parfois, une chatte humide se pose sur mon visage. Certaines femmes, incapables d’attendre leur tour se mettent à baiser ensemble. C’est un délire de cris, de gémissements, de halètements, la pire orgie que j’ai jamais vécue du moins à ce jour !
Je triche dés le départ. Je prend mon pied, c’est pas la question, mais j’attends que la femme que je pénètre, ou qui me viole déclenche un orgasme pour me vider généreusement en elle. Et d’une pensée, je recharge aussitôt, prêt à féconder la suivante. Mais la frénésie est-elle, la soif de sperme tellement intense, que dès qu’une femme a eu sa dose, d’autres se précipitent pour laper avec délectation le trop plein qui s’échappe de leurs vagins. Certaines perdent carrément la tète, oublient leur désir d’être fécondées, me ...