Merci aux nouvelles technologies - Histoires de Sexe

Merci aux nouvelles technologies

... corps recommence à s’exciter mais de plus belle.

J’arrive à toucher le dessous de ma queue malgré la fine paroi qui sépare les deux orifices de Laura et le préservatif, je sens même mes veines gonfler sous mes doigts. Ses mouvements son maintenant moins amples mais beaucoup plus secs, j’essaye de caler mes doigts au rythme de son corps.

Nous sommes juste accompagné de nos gémissements et du bruit de la pluie qui continue de s’abattre sur la carrosserie de ma voiture quand nos langues se séparent. Laura se met à griffer mon dos alors qu’elle attrape ma lèvres inférieure pour la mordre.

Je sens la chatte de Laura se contracter autour de ma queue, j’accélère les mouvements de mes doigts et la pression que je met sur ma bite pour essayer de jouir en même temps qu’elle. Au moment où elle plante ses griffes dans mon dos, je sens mon corps se contracter, mon bassin se soulève et je me plante bien au fond de la grotte de Laura, une décharge électrique me parcourt et je rempli la capote qui enferme ma queue.

Je reste un moment au plus profond ...

... d’elle puis nos deux corps retombent sur la banquette alors que nos deux sexes s’imbriquent toujours. Je dégage ses cheveux vers l’arrière et je prends son visage entre mes mains pour l’embrasser encore une fois tout aussi tendrement.

Une fois que nous reprenons nos esprits nous nous rhabillons en silence et nous allons nous rafraichir aux toilettes. Avant de reprendre la route, comme si rien ne s’était passé, nous buvons enfin notre café.

A la pause suivante comme nous étions plus protégé par la pluie et la buée sur les vitres nous avons chercher un endroit calme pour encore profiter du corps de l’autre. Ce fut tout aussi bon que la première fois.

Une fois arrivé à Nice je lui demande son numéro de téléphone mais Laura préfère garder ce moment comme un excellent souvenir et m’offre son string noir totalement imprégné de nos odeurs intimes. Je l’embrasse une dernière fois et je pars vers mon hôtel. Je dois vous avouer que le soir je me suis branlé en repensant à cet après midi et bien évidement aussi en collant son string sous mon nez.