1. LE MARIAGE


    Datte: 07/03/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... descend inexorablement vers mes pieds. Après m’avoir délestée de ce dernier rempart, le gars écarte mes jambes, et vient coller sa bouche sur ma vulve qu’il entreprend de lécher, en écartant mes grandes lèvres.
    
    La queue dans ma main est devenue énorme, et je n’en ai jamais connue de si grosse elle est longue, de plus de 20cm, et large comme un poignet.Le frère du marié me pousse en arrière, m’allongeant sur le dos, et vient s’étendre , à mes côtés, son braquemart tourné vers moi. J’ai maintenant trop accepté pour pouvoir reculer. Je prends donc l’objet en bouche, ouvrant les machoires au maximum, mais il n’est pas question de l’engloutir en entier. Je suce son gland turgescent, en agaçant le frein de ma langue. Il balance le bassin en avant, investissant ma bouche mais sa bite monstrueuse vien se bloquer au fond de ma gorge avant que j’en aie absorbé la moitié., manquant de m’étouffer.Je dois me contenter de lécher cette hampe sur sa longueur avant d’aller gober les testicules, elles aussi volumineuses.
    
    Pendant que je m’applique à satisfaire le frère du marié, l’autre a investi mon intimité, pointant sa langue partout, de ma cavité à mon anus, aspirant puissamment mon clito qui est maintenant largement sorti de son antre, ses doigts inquisiteurs envahissant ma chatte et mon petit trou du cul
    
    « Elle aime ça, la salope ! » dit le frère du marié.
    
    L’autre se coule contre moi et m’enfonce sa bite d’un trait, puis il commence à s’agiter en moi à grands coups de reins, ...
    ... ses deux mains malaxant mes seins. Je sens le plaisir monter en moi, mais il se retire d’un coup et lache plusieurs salves de sperme sur mon ventre.
    
    « Tu as l’air d’aimer la bite. Je vais t’en donner, moi ! » dit le frère du marié qui a balancé son slip, libérant un pénis énorme, plus long et surtout, bien plus épais que celui de Pierre.
    
    Il présente son gland violacé devant ma chatte et l’y enfonce d’une poussée. Mon conduit, lubrifié par le sperme de son copain et mes sécrétions, ne lui oppose aucune résistance. Je sens ma matrice interne distendue, au fur et à mesure qu’il m’envahit. Son mandrin énorme, vient taper au fond de mon vagin, et je ressens une douleur sourde, mais il n’en a cure, et revient plusieurs fois à la charge, par à-coup rapide, jusqu’à ce que ses couilles tapent sur mon cul, à toute vitesse, en une percussion obscène. Je couine sous lui sans pouvoir m’arrêter. C’est la première fois que je me fais défoncer à ce point. Tous mes recepteurs érogènes sont au rouge, et je relève bien mes genoux écartés pour laisser cette chignolle me forer. Après la douleur des premiers instants, je prends un pied phénoménal
    
    Mon cavalier, commence à emettre des son rauques, et sa verge grossit encore en moi, signe de sa prochaine jouissance. Moi, j’ai déjà, joui, plusieurs fois. Il se retire d’un coup, et envoie plusieurs giclées de semence sur mon ventre et mes seins, en se relevant. L’autre me libère. Ils remettent leurs maillot de bain et s’apprètent à quitter la ...
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