La plénitude d'Alyssa - Histoires de Sexe

La plénitude d'Alyssa

Deux heures du matin. Je suis cette silhouette sexy sous un abribus de l’avenue Leclerc, marchande d’amour pour quelques dizaines d’euros. Au milieu de cette première nuit de tapin, je réalise que je marche sur la mauvaise pente mais je prends conscience aussi que cette dépravation assouvit un profond désir en moi. Une limousine Mercedes 500 S s’arrête à ma hauteur. Un homme noir, la trentaine, le look classique costard-cravate baisse la vitre.

— Approche, ma belle ! me lance-t-il.
— Tu es intéressé par les transsexuels ? dis-je adoptant une démarche sensuelle et balançant mon petit cul aguicheur pour faire les quelques pas qui me séparent de l’auto.
— Oui, j’adore, mais tu me parais bien jeune. Quel âge as-tu ?
— Je viens d’avoir 19 ans réponds-je, tout sourire.
— Ah oui ? Tu es sûre ?… Et comment comptes-tu me le prouver ? demande-t-il avec un air amusé et intrigué.
— Pour vérifier si je suis expérimentée, c’est pourtant simple : tu n’as qu’à te laisser tenter, dis-je avec un sourire coquin en me penchant un peu plus pour qu’il puisse mater mes petits seins.
— Je dois dire que tu me plais beaucoup. J’ai vraiment très envie de m’amuser avec toi ; tu es une salope comme je les aime… dit-il en glissant sa main gauche sous ma minijupe pour me peloter les fesses.
— Si tu veux jouer avec moi, tu ne seras pas déçu… dis-je avec provocation en employant délibérément un ton de fillette délurée.
— Allez, viens, j’ai trop envie de te baiser. Tu sembles très coquine et ...

... prête à tout ; j’adore ça !

Je fais rapidement le tour de la voiture pour m’asseoir à côté de lui. Je me sens très excitée par les paroles crues de mon nouveau client, et surtout par mes propres sortilèges d’aguicheuse : je découvre que je prends du plaisir à harponner le client, à faire monter son envie jusqu’à ce qu’il ne puisse plus résister à mes charmes. J’ai vraiment la perversité de la pute assumée !

— Tu bandes… dis-je d’une voie de chatte en chaleur, une main posée sur sa queue.
— Je bande déjà comme un âne ! Les petites cochonnes dans ton genre me donnent une vigueur toute particulière, comme tu peux le constater.
— Si tu veux, je te guide pour aller sur un parking tranquille, dis-je.
— Je suis à l’hôtel Novotel à côté ; je te propose 200 € pour deux heures de baise dans ma chambre. J’aime prendre mon temps, et je n’aime pas trop les galipettes en voiture. Qu’en dis-tu ?
— Dis donc, tu es plein de fric : une Mercedes, un hôtel 3 étoiles… Ouaaaahhhh ! Allons-y, dis-je sur un ton frivole et excité.
— Je n’ai pas à me plaindre. Tu sais, tu es vraiment très sexy. J’ai déjà rencontré beaucoup de filles comme toi, et elles étaient presque toutes sexy ; mais toi, tu es vraiment très jolie. Alors dis-toi que jouer les petites putes frivoles n’ajoute vraiment rien à ton charme, répond-il sur un ton à la fois sincère et un peu taquin.
— Waouh ! Tu crois m’avoir démasquée, mais je t’assure que je ne joue aucun rôle. Si tu me vois comme une petite pute frivole, dis-toi ...