Recherche jeune homme soumis - Histoires de Sexe

Recherche jeune homme soumis

... voulez plus être mon soumis, dites-le clairement et nous en resterons là. Si vous persistez dans vos hésitations et dans vos refus, de toute façon, nous devrons nous séparer de vous. Si au contraire, vous conservez cette même vénération dont vous faites preuve à mon égard, vous ne le regretterez pas, je vous l’assure. Quand Monsieur Éric a besoin d’un service, il faut le lui rendre, comme s’il s’agissait de moi-même, c’est entendu ?
— Bien Madame.
— De toute façon, Éric travaille beaucoup, vous n’aurez pas l’occasion de le voir si souvent. En revanche, cet après-midi, je reçois une amie d’enfance.
— Quelle sera ma tenue, Madame ?
— Mais nu, si cela vous fait plaisir. Jeanne ne s’en formalisera pas ; elle va tous les ans dans un camp de naturistes. En attendant, vaisselle et cuisine pour ce matin. Et les carreaux en début d’après-midi. J’ai deux petites culottes sales ; vous savez qu’elles ne supportent pas la machine à laver. Elles sont trop fragiles.
— Je sais, Madame.

De toutes ses tâches, c’est ce qu’il préférait : s’occuper des petites culottes. Elles étaient toutes en dentelle fine, tressée, superbement dessinée, avec des petits nœuds. Il faisait d’abord une savante inspection, épuisait toutes les odeurs qui se mélangeaient au fond du string ou du tanga, goûtait toutes les saveurs qui s’échappaient de cette lingerie intime. Puis ils les laissaient tremper dix minutes et ils les lavaient à la main dans une eau tiède avec un savon doux. Souvent il pleurait ...

... d’émotion devant ces écrins qui reprenaient vie.

L’après-midi se passa fort bien et réconcilia Olivier avec son statut d’obéissant actif. Les deux femmes lui firent des compliments sur sa façon de servir et même sur sa plastique. Jeanne prit un moment ses bourses en main et elle lui caressa les fesses. Pour un peu, il éjaculait à l’heure du thé, mais les deux femmes voyant la verge donner des signes avant-coureurs la calmèrent avec des glaçons.

Le lendemain déjà Jeanne était à nouveau de visite. Mais cette fois, elle avait amené sa sœur Jacqueline. Ce fut tout aussi joyeux et ces dames se montrèrent très actives. À la longue, Olivier n’en pouvait plus. Les trois femmes voulaient aller jusqu’au bout. Il alla chercher un plateau d’argent et sous la pression de six mains et de trente doigts, il éjacula silencieusement, mais copieusement.

Un soir cependant, il tomba nez à nez avec Éric qui revenait de son club d’équitation, alors que Patricia était au cinéma.

— Tiens, vous êtes habillé aujourd’hui.
— Je me préparais à partir, Monsieur.
— Dites donc, Nestor, l’autre jour vous avez pris votre plaisir à ce qu’il paraît.
— Tous les jours, Monsieur.
— Ouais, enfin, vous savez bien ce que je veux dire. Vous avez été branlé, n’est-ce pas ?
— Oui, Monsieur.
— Eh bien, dites-le. Dites : j’ai été branlé et j’ai déchargé.
— J’ai été branlé et j’ai déchargé.
— Vous savez combien ça vous coûterait normalement si l’acte était tarifé ? Ne faites pas l’innocent. Vous savez très bien. ...