L'université : de la soumission à la consécration (2)
Datte: 05/03/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: donico, Source: Xstory
... Curieux, j’approche l’oreille et sursaute presque en réalisant ce que j’entends : cela ressemble furieusement à des gémissements de plaisir…
Je sais que ma sœur est une sacrée salope (c’est en tout cas sa réputation), mais force est de constater qu’elle ne perd pas de temps. Et la discrétion n’est pas son fort ! Mais outre la curiosité, un autre sentiment commence à se faire une place dans mon esprit. La proposition de Léna m’avait bien excité, et l’érection qu’elle avait provoquée commençait à peine à s’atténuer que les gémissements de ma sœur la font repartir de plus belle.
Si je jette juste un petit coup d’œil, personne ne le saura jamais...
Je sais : le voyeurisme c’est moche. Et tenter d’espionner sa sœur qui fait l’amour, c’est pire encore. Mais Léna m’a bien excité, et j’ai passé le plus clair de mon adolescence à fantasmer sur la poitrine de ma sœur.
Souvent, lorsqu’elle sortait de sa douche, elle entrouvrait la porte de la salle de bain pour faire sortir la buée. Dans la famille, tout le monde savait bien quand quelqu’un était dans la pièce, surtout avec la lumière, et chacun prenait donc ses précautions. Mais moi, je profitais de ces moments pour observer discrètement par l’entrebâillement. Je contemplais sa magnifique poitrine, bien ronde et charnue, puis je montais en vitesse dans ma chambre pour me masturber en y pensant.
Je serais bien incapable de dire combien de fois je me suis masturbé en pensant à ma grande sœur. Je m’imaginais malaxer sa ...
... grosse poitrine, la lécher, la téter… Je me voyais lui faire l’amour, tantôt comme une initiatrice sévère, tantôt comme une esclave soumise, tantôt comme une maîtresse aimante… Ma grande sœur est sans doute la femme que j’ai le plus baisée… en pensée !
J’entre donc à pas de loups dans l’appartement et glisse la tête dans l’entrebâillement de la porte. Bien que je m’attende à moitié à ce que j’allais trouver, je n’en suis pas moins choqué en voyant la scène : Anna est bien en plein acte sexuel – ou tout du moins en train de se faire dévorer le vagin – mais son partenaire n’est autre que Nicolas, mon meilleur ami et copain de notre autre sœur !
Le salaud, tromper ma sœur avec… mon autre sœur !
Immédiatement après, une autre pensée m’assaille : et Charlotte ? La pauvre est si gentille, si douce, si innocente… Elle ne mérite vraiment pas ça ! Ils ne valent vraiment pas mieux l’un que l’autre !
Et pourtant, une autre question me taraude aussitôt : si la requête de Léna n’est à priori pas isolée (puisque Nicolas a eu la même), est-elle identique pour les filles ? Si oui, elle est peut-être en train de tailler une pipe à son parrain…
L’hypothèse me fait sourire : bien sûr que non, pas Charlotte ! De toute façon Léna m’a dit qu’elle n’avait pas été retenue pour être élève dans la fraternité, Anna ne l’ayant pas jugée prête (ce que je comprends mieux maintenant !). Je sais qu’elle réserve de toute façon sa virginité pour « le bon moment ». Je ne la vois donc vraiment pas ...