1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (31)


    Datte: 05/03/2020, Catégories: Transexuels Auteur: tomy83, Source: Xstory

    — On va en haut, il me semble qu’on sera plus tranquille. Dis-je à Gladys.
    
    Le cul de Gladys est à portée de bisous, je ne me gêne pas. Elle s’arrête au milieu de l’escalier de fer. Elle passe une main entre ses fesses et retire son plug, avant de continuer son ascension. Je regarde en bas. Adélia se fait draguer par une femme d’une quarantaine d’année, Théna est sur les genoux d’un mec beaucoup plus vieux qu’elle. Ma Malika s’affaire à prendre et apporter les commandes, tout comme la patronne. Pas de trace de Maria. Je rattrape ma jolie petite grosse.
    
    Le haut, après avoir passé une lourde porte, est plus cosy, plus feutré, la musique y est plus douce, moins forte. Elle me prend par la main et m’entraîne dans la visite des lieux. On pénètre dans un long couloir, des petites alcôves de part et d’autre, des salles plus grandes, des "Glory-Hole", des douches et une salle réservée aux jeux plus poussés. On, plutôt, elle choisit une petite alcôve sans porte, il y a juste un petit rideau de filaments de coton rouge. Elle se retourne et se met à genoux. Je l’imite. Elle me regarde pleine d’incompréhension.
    
    — On va se faire jouir mutuellement avec nos mains. Pas le droit d’utiliser autre chose... Pour l’instant.
    
    Elle me sourit et c’est un jeu de caresses sensuelles, érotique au possible. Elle me parcourt les épaules, j’en fais autant. Je calque mes gestes sur les siens. Elle me prend les seins en mais, je les lui malaxe. Elle ferme les yeux, une petite tape sur ses seins ...
    ... la rappelle à l’ordre.
    
    — Interdit de fermer tes yeux, compris ?
    
    Elle me sourit. Ce manège dur longtemps, trop longtemps. Je la pousse et déséquilibrée, elle se retrouve sur le dos, à même la moquette. Je prends ses jambes sans ménagement et les lui pose sur ses épaules. L’odeur de son sexe me monte au nez. D’un coup, je la pourfends sans autre préliminaire. Elle a le souffle coupé.
    
    — C’est ça que tu voulais, non, je me trompe ?
    
    — Oui... Qu’elle est bonne ta queue, elle me remplit bien... Vas-y, défonce-moi.
    
    Je me démène comme une diablesse dans son con. Elle crie, hurle à me casser les oreilles. Les flocs-flocs sont indécents, pornographiques. On change plusieurs fois de position. Levrette sauvage, cuillère, missionnaire, l’andromaque, la balançoire et j’en passe. J’ai honoré aussi bien sa chatte et son anus. On a fini cette cavalcade dans un long 69 ou elle a reçu une quantité de foutre phénoménale et moi, j’ai été arrosée, douchée par une pluie de cyprine.
    
    Je suis couchée dans son dos.
    
    — Putain, j’ai joui comme une tarée, comment tu fais ? T’est un putain d’étalon... Pardon, maîtresse, tu es... Piouuuu. Je ne suis pas bien vieille, mais tu m’as mis grave.
    
    Je souris. Je lui malaxe les seins, et l’embrasse dans le cou. Ma queue fait des siennes.
    
    — Encore ? Nan, pas possible... Tu es gavée de testostérone ma parole...
    
    — Une douche ?
    
    — Ouais, j’en plus que besoin, tu m’as remplis... Hihihihi.
    
    Douche prise, on redescend. Malika est toujours en ...
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