1. Le Congrès - Partie 10


    Datte: 04/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byVerdu, Source: Literotica

    Mère A Tout Prix
    
    A ma grande surprise, quand la porte de ma chambre s'ouvre cette période de veille, ce ne sont pas mes geôliers qui entrent mais Monsieur Moreau. Instinctivement, je prends la position de soumise à genoux devant lui. Il me sourit et il caresse mon crâne nu.
    
    — Huit, je viens t'annoncer une grande nouvelle, mais avant tu vas me préparer pour je puisse t'enculer.
    
    Je ne me fais pas prier pour sortir son sexe de son pantalon et le prendre entre mes lèvres. Il ne bouge pas et me laisse agir. Je lèche ce membre qui se dresse devant mon visage avec d'autant plus de plaisir que depuis quelques temps mes nausées ont cessé et je ne ressens plus que des sortes de gargouillis dans mon ventre. Si j'avais dix ans de moins, je pourrais croire que je suis enceinte mais j'ai largement passé la quarantaine.
    
    Monsieur Moreau grossit dans ma bouche et je lui offre même une gorge profonde car je me souviens qu'il aime cela. J'ai les yeux brillant de plaisir en le regardant alors que mon nez est dans ses poils contre son ventre. Je dois faire attention car je sais qu'il veut profiter de mon cul et si je le fais jouir dans ma bouche, ma punition risque d'être terrible.
    
    Je le fais aller et venir quelques instants dans ma bouche puis je me retourne pour lui présenter ma croupe.
    
    — Viens t'empaler, mon enculée, recule-toi.
    
    Obéissante, je recule et je sens son gland à l'entrée de mon petit trou. Il me pénètre sans difficulté. Il faut dire que depuis la séance avec ...
    ... quinze et seize, je suis régulièrement enculée dans ma cellule par les geôliers, Avec le sexe si ce sont des hommes et avec un gode si ce sont des femmes. Ces séances d'enculage sont elles aussi espacées de manière irrégulières mais si fréquent que mon anus n'a pas le temps de se refermer entre chaque, d'autant plus que les godes deviennent de plus en plus gros. Je ne peux même plus les prendre dans ma bouche pour les préparer à investir mon trou. Malgré tout, cela ne m'empêche pas de jouir à chaque fois.
    
    Quand mes fesses sont contre son ventre, il me prend alors par les hanches et c'est maintenant lui qui impose le rythme des pénétrations. Il me claque les fesses et me dit de jouir comme la grosse pute que je suis.
    
    Ce mélange de honte et de plaisir me fait une nouvelle fois monter au septième ciel et je jouis en même temps qu'il se vide dans mon cul. Bien évidemment, je me retourne pour le nettoyer. Puis il m'ordonne de reprendre la position d'attente car il a une importante nouvelle à m'annoncer.
    
    Intriguée, je m'agenouille et j'attends en silence. Il me fixe, je frissonne. Que va-t-il me dire? J'imagine tout et n'importe quoi mais surtout pas ce que j'entends.
    
    — Voilà ma chérie... oui, je peux appeler comme ça la mère de mon enfant, exceptionnellement et juste aujourd'hui. Je vois à ton regard que tu as compris, dit-il.
    
    — Oui tu as l'honneur de porter le fruit de mon amour pour toi. Je dis bien porter car c'est ce que tu es maintenant... une mère porteuse.
    
    — ...
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