Première rencontre
Datte: 04/03/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
magasin,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
nopéné,
Auteur: Auteur anonyme, Source: Revebebe
... qu’elle le peut. Les fesses au bord du tabouret elle se fait jouir avec une simplicité déconcertante, comme si c’était là une pratique quotidienne. Comme si ni le lieu, ni la position, ni l’objet de sa pénétration, ni les circonstances n’étaient exceptionnels, mais la façon habituelle avec laquelle elle prend son plaisir.
Cette aisance incroyable culmine d’ailleurs dans un orgasme rapide et violent qui la secoue de tremblements alors qu’elle enfourne encore plus cet étrange godemiché vivant en elle. Sa tête en arrière, les yeux fermés, elle enfonce ses ongles dans mon talon et reprend lentement son souffle en dégustant son plaisir .
Après qu’elle ait reposé délicatement mon pied, elle reprend de ma main la culotte que je n’avais pas lâchée, essuie mon pied, s’essuie sa fente, rentre même un peu à l’intérieur de son sexe luisant sa culotte et me la donne :
— Souvenir !
De mon côté, bien entendu, cette utilisation inattendue de mon pied ne me laisse pas de marbre et j’ai retrouvé une forme impossible à dissimuler.
Mais l’heure a tourné, nous sommes resté bien plus d’une heure dans ces limbes du plaisir. Je renonce à prendre le mien encore une fois, et décide de redevenir le maître du jeu en prenant la parole.
— Avais-tu tout prémédité ?
— Non, je t’assure que non, à part enlever ma culotte devant toi. Tout le reste m’est venu à l’inspiration. C’est seulement quand je suis allée en réserve que j’ai vaguement imaginé un jeu avec tes pieds en voyant les ...
... sandales.
— Tu veux qu’on parle un peu maintenant ? Préfères-tu laisser un peu de temps pour assimiler tout ça en nous retrouvant devant notre minitel ?
— Oh non, parle, dis-moi ce que tu penses vraiment. Tu m’as trouvée trop, euh, entreprenante ?
— Oui, très même. Mais pas trop, j’ai eu immédiatement la sensation d’une complicité naturelle inouïe qui te permettait pour la première fois de ta vie, certainement, de donner libre cours à ton imagination. Et tu ne l’as fait que parce que tu t’es spontanément sentie en confiance. Je n’ai pas ressenti l’avidité d’une femme frustrée prête à sauter sur le premier mâle venu, mais la complicité d’une femme avide de combler et d’étonner son amant.
— Oui, tu as tout dit, c’est exactement ce que je ressens. Tu sais, je ne t’ai pas menti. Ce que nous venons de faire je ne l’avais jamais fait auparavant. C’est venu naturellement avec une évidence que je ne comprends pas, mes gestes étaient comme dictés par ta volonté. Et j’ai éprouvé un plaisir infini à m’y appliquer.
— Ma conclusion aujourd’hui serait qu’à moins de vouloir se faire beaucoup de mal, il n’y a aucune raison que nous n’allions pas au bout de cette complicité, qui à mon avis va bien au-delà du pur plaisir sexuel.
— Je bois tes paroles.
— Lesquelles ont meilleur goût ? Ma semence ou mes paroles ?
— Eh bien ! disons que le Nirvana est atteint, quand on peut alterner les deux !
Pendant que nous parlions, nos mains s’étaient rejointes et insensiblement nos visages se ...