1. Première rencontre


    Datte: 04/03/2020, Catégories: fh, extracon, magasin, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, Auteur: Auteur anonyme, Source: Revebebe

    ... tend.
    
    — Je voulais l’enlever devant toi et te la laisser en cadeau. Elle est pleine de mes jus, je me suis caressée comme une folle depuis ce matin en attendant ce moment, elle est absolument trempée.
    
    Je suis tétanisé, il y a tellement d’érotisme dans cette scène que je ne sais plus quoi faire, regarder son sexe qu’elle offre maintenant entièrement à ma vue, prendre sa culotte, la porter à mon visage, la sentir, la goûter, prendre sa main, avec sa culotte, pour les porter toutes les deux à ma bouche, me pencher vers elle pour l’embrasser à pleine bouche. Tant de désirs simultanés et intenses.
    
    La réalité reprend malheureusement vite le pas. Nous sommes dans un lieu, sinon public, du moins un tant soit peu exposé. Ce qui par ailleurs ajoute de l’intensité à la situation.
    
    Rouge ! Sa culotte était en dentelle rouge ! Si encore elle avait été blanche, j’aurais pu à n’importe quel moment la porter à mon nez, comme un mouchoir. Je roule rapidement en boule le fin objet encombrant à l’humidité prometteuse, et le porte, caché au creux de ma main, vers mon nez, doucement, en la regardant… droit dans les yeux. Étrange, non ? Voilà qu’elle offre son intimité à mon regard, et que celui-ci, non pour la fuir, mais pour renforcer une complicité naissante, plonge dans le sien. Dans cet échange de regard, où ses yeux brillent de malice, se scelle définitivement un désir qui déferle sur nous avec une violence que nous aurons du mal à contenir.
    
    Si au lieu de plonger dans ses ...
    ... yeux, j’avais été scotché à son entrejambe exhibé de façon provocante, je crois que notre histoire ne serait pas allée bien loin. Le corps n’offre pas autant de promesses qu’un regard. Le corps dévoilé, malgré le désir qu’il éveille, inhibe l’imagination et ramène au réel et au présent. Le regard sublime le « ici et maintenant », il dessine les contours du « demain ». La puissance de l’anticipation est bien plus motivante que l’étalage de l’accessible. Dans ses yeux, il y avait un potentiel immense, illimité, de plaisirs futurs, partagés et sans cesse renouvelés. Dans ses jambes écartées, il n’y avait en fait que l’occasion d’un plaisir éphémère et bientôt terminé.
    
    Nous restons, ainsi, plongés les yeux dans les yeux, une éternité. Quelle étreinte ! J’ai l’impression de lire en elle, je suis en train d’imaginer son dialogue intérieur que je mélange au mien, nous entamons ainsi une conversation muette. Je la sens haleter, respirer de plus en plus vite. Dans le même temps, j’inhale ses parfums intimes avec délectation. Nous jouons à qui va décrocher le regard le premier. Et puis, soudain, elle ferme les yeux, lève sa tête en arrière, elle émet un petit cri. Pas le moindre doute, c’est un véritable orgasme qui l’a submergé !
    
    Nous revenons l’un et l’autre à la réalité. Comme une caméra qui fait un zoom arrière, je reprends conscience de ce qui entourait son regard. Son visage, ses cheveux, son cou, sa poitrine, ses jambes ouvertes, son sexe offert, tout me plaît, surtout ne rien ...
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