1. A poil au bureau!


    Datte: 04/03/2020, Catégories: Humour Masturbation Partouze / Groupe Auteur: HannaPurna, Source: xHamster

    ... peut maintenant apercevoir les bretelles de mon soutif mais elle doit croire que c’est un modèle standard. Je continue comme si de rien n’était et ça m’excite un peu, me dressant les tétons. Ce n’est que quand elle commence à contourner mon bureau qu’elle remarque mon soutif qui encadre mes seins et mes tétons qui pointent fièrement. Surprise, elle pousse une petite exclamation:
    
    - Oh, Caro!
    
    - Quoi? Je t’ai demandé et tu m’as dit que ça te dérangeait pas.
    
    - Ben oui, mais ton soutif, je m’attendais pas à ça.
    
    - C’est vrai qu’il est un peu décolleté.
    
    - Un peu décolleté? Mais c’est presque que l’armature avec à peine un peu de tissu en bas.
    
    - Tu n’as rien dit tout à l’heure quand je suis venue dans ton bureau.
    
    - Non, mais j’avais pas vu, tu étais derrière moi.
    
    - Bon, écoute, si tu préfères, je l’enlève carrément, comme je le fais avec Martine.
    
    Et sans attendre sa réponse, je dégrafe l’objet de cette joute verbale. Elle n’ose rien dire, se concentrant sur le travail, puis elle finit par me lancer avant de retourner à sa place:
    
    - Tu as raison, je préfère comme ça, c’est moins perturbant. Mais tout de même, seins nus au bureau, c’est pas commun.
    
    - Ici oui, en tout cas. Martine le fait aussi. Tu devrais essayer.
    
    Elle ne répond rien à ça et va se rassoir dans son fauteuil.
    
    Un peu plus tard je retourne à son bureau et là je me penche sur elle en lui montrant des choses sur son écran, lui mettant mes seins directement sous le nez. Elle réagit un ...
    ... peu:
    
    - Dis, c’est tout de même un peu inhabituel pour moi de voir quelqu’un topless au bureau.
    
    - Ça va venir. Tu sais, le mieux pour t’y habituer, ce serait que tu fasses pareil.
    
    - Non, j’oserais jamais.
    
    - Tiens, mets-toi au moins en soutif pour voir. Qu’est-ce que tu risques?
    
    J’insiste un peu et elle finit par enlever son chemisier elle aussi, mais elle garde son soutif, un modèle sans armature et en tissu simple masquant sobrement son modeste 80B.
    
    Pendant le reste de l’après-midi, elle a plusieurs fois l’occasion de me voir face à elle et elle finit par ne plus y porter cas, non plus qu’à sa propre tenue.
    
    Mardi 13 juillet 1999
    
    Dès le matin, je manœuvre pour rester sur les acquis de la veille, avec pour but de pousser plus loin dans la journée. Je décide donc Sophie à se remettre directement comme hier. Comme il fait déjà une chaleur étouffante, même avec les fenêtre ouvertes, elle ne résiste pas et se remet en soutif pendant que j’enlève le chemisier sous lequel je n’avais même pas pris la peine de mettre quoi que ce soit. Nous continuons a papoter un peu en buvant un café avant de nous mettre au travail. Je fais en sorte d’être la première à m’assoir derrière mon bureau pour pouvoir passer à la phase suivante:
    
    - Dis, tu dois avoir vraiment trop chaud avec ton jean’s, non?
    
    - Oui un peu, c’est vrai. J’ai tellement l’habitude de Paris que je n’ai même pas de jupe.
    
    - Eh bien c’est pas grave, t’as qu’a l’enlever et rester en culotte.
    
    - Oh tout ...
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