1. Initié par la mère de ma copine


    Datte: 03/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds

    Je me prénomme Hervé et je viens d’avoir 25 ans. Je vais bientôt me marier avec Soizic, un jeune bretonne rencontrée lors des vacances d’été de l’an passé.
    
    Elle tenait avec sa mère la petite épicerie du camping dont le père assurait la gérance. En haute saison, elle n’avait guère de temps libre en journée mais après 20h30, nous avions pris l’habitude de nous rencontrer et de parler de nos aspirations en nous promenant sur la plage... Peu à peu nous sommes tombés amoureux l’un de l’autre si bien que l’année suivante, elle est venue passer une semaine à Paris au printemps et là, nous avons décidé de nous marier en septembre.
    
    Mais ce n’est pas de ma relation avec Soizic dont je veux vous parler. Elle est banale car c’est la relation d’un jeune couple amoureux qui se découvre. Ce soir, nous enterrons ma vie de garçon aussi, je vais vous raconter en prenant un pot cette histoire qui s’est déroulée il y a quelques années. Nous sommes entre hommes et Soizic est au courant de ce que je vais vous dire.
    
    Ce que je veux vous raconter par le menu, c’est comment et aussi pourquoi la mère de ma copine de l’époque m’a initié.
    
    J’étais en terminale « S » et depuis l’entrée au lycée, j’avais une camarade attitrée : Marie-Hélène. Nous étions toujours ensemble, sur le chemin du bahut, sur le même banc en cours, nous étions quasi inséparables mais il n’y avait rien de sexuel entre nous, juste un fort sentiment de camaraderie et d’amitié. Nos études passaient avant tout le ...
    ... reste.
    
    Marie-Hélène faisait partie d’une fratrie importante puisqu’elle avait quatre frères et trois sœurs. Elle-même était la quatrième dans l’ordre des âges après une sœur ainée et deux frères jumeaux. Sa mère Hélène était une jolie femme de 42 ans, bien conservée malgré ses grossesses répétées, très active dans la maison où elle régnait avec une autorité bienveillante.
    
    Grande aux longs cheveux châtain clair, un visage rieur éclairé par de grands yeux gris avec au coin des rides d’expression, sa silhouette faisait beaucoup d’effet sur les hommes qui se retournaient fréquemment pour regarder le balancement de ses hanches un peu larges mais bien soulignées par une taille fine toujours prise dans de larges ceintures. Eté comme hiver, ses jambes étaient gainées de bas fumés. Elle portait rarement des pantalons qui, disait-elle n’avaient rien de très féminin…
    
    Unique héritière d’une famille aisée d’industriels alsaciens, elle s’était mariée jeune avec un ingénieur venu faire un stage d’un an dans l’entreprise et l’avait suivi à Paris. Depuis, elle s’occupait de sa maison dans une ville résidentielle de la banlieue est et de sa nombreuse famille. Discrète, elle était unanimement appréciée dans le quartier et ses enfants la portaient aux nues comme j’avais pu le voir lorsque je venais chez elle pour rencontrer Marie-Hélène et ses ainés...
    
    Lorsqu’il nous arrivait de bavarder ainsi tous ensemble, Hélène se joignait parfois à nous pour, disait-elle, se tenir au fait de nos ...
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