1. Les seniors jouent à la jet-se...xe


    Datte: 03/03/2020, Catégories: grp, hagé, fagée, voisins, gros(ses), campagne, noculotte, strip, Transexuels pénétratio, fsodo, hsodo, Partouze / Groupe délire, Humour totalsexe, attirautr, Auteur: Mimi, Source: Revebebe

    ... à fond. Il fait faire le V de la victoire aux jambes de la belle et, n’y tenant plus, l’envahit d’un coup comme une bêche pénétrant la glaise humide. Je serre mon sexe entre les fesses de Berthe et caresse ses seins gonflés de désir.
    
    Mais que fait le dernier couple ? Le gendarme au nez pointu, guidé par la vielle lubrique a vu, de ses yeux vu, les uns et les autres se tâter, s’emmancher, à chaque étape il s’est échauffé de plus en plus. Réfugié avec sa vioque dans un coin de la grange, il note chaque mouvement du couple costaud en action. La paysanne à côté de lui se masturbe à gros traits de main sa chatte dégoulinante ; trois boutons du haut de sa robe, défaits, laissent voir les tremblements des mamelles flasques. Vingt boutons fermés cachent le reste. Alors il n’en peut plus. Face à elle, short tombé, sexe dressé, il empoigne le tissu et fait sauter tous les boutons d’un coup. Le corps difforme apparaît, cette laideur le rend fou d’envie, il jette ses dents sur la chair flasque, il pince à grosses poignées, mord au sang. La vieille, bien que dure au mal, bêle. Son vieux, placé plus bas, l’aperçoit. Il trique à mort dans la blonde, surtout quand il voit le vieux con défoncé par le chibre de l’adjudant. Ce dernier, se trouvant trop au large, exige qu’elle se retourne. Pas plutôt fait qu’il lui défonce l’anus et éjacule en l’injuriant. La paysanne, stimulée par la violence de l’assaut, se rebelle. Elle empoigne l’homme, le couche d’un coup dans la paille et l’encule de ...
    ... deux doigts. Il apprécie :« putain c’est bon! continue vieille salope ! »…
    
    Tous ont fini par s’écrouler, les uns sur les autres, vidés de leurs substances, sans forces. L’adjudant ronfle, vautré sur la vieille qui le cramponne par les fesses et rêve, par moments en s’agitant, au luxe de caresses vicieuses qu’elle s’est offerte sur le sec mais vif représentant de l’autorité. Elle l’a amené à la supplier, pour la perversité toujours plus poussée qu’il réclamait. Quel pied d’entendre sa voix de cogne réclamer« fesse-moi plus fort, fouille encore mon cul, ma fée, mon démon ! ».
    
    À deux pas de là, la blonde ronfle de concert avec le grand paysan. Sa robe rouge tirebouchonnée de partout laisse les gros seins sous l’œil des hirondelles qui gîtent sous les poutres ; les cuisses, largement ouvertes, accueillent une grosse main noire en place du pubis blond ; elle tient encore la queue du costaud qui sourit d’aise en dormant ; le stupre sèche à différents endroits du corps et de la robe, tandis que lui a le tour de la bouche et les joues blanchis de foutre de femelle.
    
    Sous les arbres, Eva tente de ranimer le vit du rouquin ; elle l’agace avec un brin d’herbe, sans succès. Barberousse dort, saoul d’alcool et de pompages effrénés de cette mante religieuse qui, pourtant, sent sa chatte défoncée la cuire. Elle aime, elle en a encore envie, de ce pieu dévastateur.
    
    Plus loin, au soleil, Lise est vautrée sur le dos dans la brouette, elle dort bouche ouverte comme en attente d’un gros ...
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