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Belle Epoque, un couple à part !
Datte: 03/03/2020, Catégories: fhh, hbi, hsoumis, fdomine, ffontaine, Oral préservati, pénétratio, couple+h, Auteur: JCX, Source: Revebebe
... suggestif ! La lumière diffuse du néon rouge dans la chute des reins se marie parfaitement à cet univers du siècle précédent. Le travail d’intégration dans le mur et l’illusion souhaitée de voir apparaître le torse de ce mannequin aux formes avantageuses dans la pièce voisine sont parfaitement réussis. De plus, pour ne pas lasser les « habitués », ces damoiselles sont chacune vêtues de façon différente, mais restant dans une logique flagrante… La première d’entre elles porte un tailleur classieux, veste et jupe droite d’un gris anthracite, bas résilles et talons aiguilles ; la seconde réalise un peu plus encore le fantasme de celui qui allait s’en approcher en se présentant à lui en sous-vêtements rouge très sexy ; quant à la troisième, elle laisse tout bonnement libre cours à l’imaginaire de son « utilisateur » en s’affichant dans son « plus simple appareil » ! Sur la gauche, un « mur-urinoir » en faïence comme je croyais qu’il n’en existait plus depuis bien une trentaine d’années ! L’art déco revient en force avec une « Belle époque » revisitée. Comme quoi, les anciens avaient raison : « l’Histoire n’est qu’un éternel recommencement ». Le pissoir peut accueillir trois personnes simultanément et la séparation discrète et peu avancée autorise toutes les vues, échangées ou volées. Face à chaque emplacement, une grande bouche ouverte aux lèvres pulpeuses et à la langue tirée… La cuvette est franchement engageante et incite à prendre son temps pour se soulager. Tout ici ...
... est ouvertement pensé pour l’unique agrément de ces messieurs ; le plaisir des yeux complétant là celui du besoin d’assouvir un besoin naturel. Au fond de la pièce, trois cabines toutes aussi fantaisistes. Les portes vitrées ne cachent que la partie supérieure de son occupant, assis sur la cuvette formée par les mains jointes d’une femme agenouillée dont les formes dissimulent habilement toute la tuyauterie et le réservoir d’eau de ces toilettes insolites. Les murs sont recouverts entièrement de carrelages carrés bigarrés noirs, rouges et jaunes. Tout est fait dans ce lieu afin de le rendre inoubliable pour les messieurs qui le fréquentent et pour leur donner l’irrésistible « envie » d’y revenir. Une très belle association d’une idée commerciale et d’un « délire » d’architecte. Maurice est campé au centre du pissoir, le sexe dans sa main droite, visant avec amusement le palais de cette bouche gloutonne, jouant de la puissance de son jet. Faut bien s’amuser ! Je me place à sa gauche et commence à déboutonner mon pantalon afin de libérer mon sexe, déjà bien excité par le caractère anecdotique des lieux et la situation coquine. Un premier jet d’urine avant que l’érection ne soit totale et qu’elle stoppe net l’écoulement… Maurice ne perd rien de cette scène qu’il regarde avec délectation. — Pas mal ! dit-il en fixant son regard sur mon vit en même temps qu’il l’enserre fortement avec sa main gauche. — Elle est chaude et dure. Brigitte les adore comme ça… Et moi aussi ! ...