Une première matinée en mer qui commence bien le voyage - Histoires de Sexe

Une première matinée en mer qui commence bien le voyage

... frotter son pubis contre le mien a ressenti sa première jouissance qui s’est accompagnée d’une production de sécrétions vaginales qui sont venues me couler le long des couilles. Mais pas tout à fait rassasiée, elle a continué ses va-et-vient jusqu’à sentir une seconde vague de plaisir plus brève mais tout aussi agréable l’envahir.

Ainsi repue, comme généralement je ne jouis pas dans cette positon, surtout lorsque le sexe de ma femme est inondé de sécrétions comme c’était le cas ce jour-là, elle m’a demandé :

— Tu veux que l’on se retourne ?

Au regard de ses bonnes dispositions, je lui ai plutôt proposé :

— Je préfèrerais que tu te mettes à quatre pattes.

Et elle se mit en position pour se faire prendre en levrette. C’est une position que j’apprécie particulièrement pour finir de lui faire l’amour car cela me permet de m’enfoncer bien profondément dans son sexe en la tenant fermement par les hanches tout admirant son petit cul et son œilleton fripé où j’ai pu en quelques rares occasions où elle était particulièrement amoureuse enfoncer mon sexe.

En me penchant sur elle, je lui attrapai aussi au passage un sein pendant et se balançant sous mes coups de boutoir. De son côté elle ne restait pas tout à fait inactive si bien que je sentais son vagin se contracter pour venir encercler mon sexe et ainsi décupler les sensations que pouvait me procurer la pénétration. Ainsi tout à mon plaisir, après moins de trois minutes à la pistonner par derrière et à venir ...

... claquer contre ses fesses, j’ai fini par éjaculer. N’ayant pas baisé depuis deux jours, c’est une quantité importante de semence que je lui déversai dans la foufoune.

Si souvent pendant que je fais l’amour à ma femme, je m’imagine ensuite lui lécher la chatte pour me délecter de ses sécrétions mélangées à ma semence, après avoir joui, quand la détente fait place à la phase d’excitation, ce souvent fantasme disparaît. Donc après quelques minutes à rester l’un contre l’autre, Marie me dit :

— Chéri, peux-tu aller me chercher du papier toilette car ton sperme commence à me couler sur les cuisses ?

Je suis donc allé lui chercher le papier toilette afin qu’elle puisse s’essuyer. Pour parer à tout autre besoin, il fut décidé d’un commun accord de garder le rouleau à portée de main dans la table du cockpit.

Après quelques minutes à se remettre de nos émotions tout en veillant passivement autour de nous, nous nous aperçûmes avec surprise qu’il était déjà presque 13 heures et décidâmes de nous mettre à table en restant fesses à l’air, en se disant que cette traversée commençait bien. Néanmoins, l’après-midi, le vent tourna légèrement, apportant un peu de fraîcheur et il fallut se rhabiller.

Avec les quarts de veille qui se sont mis en place et la fatigue associée, puisque nous n’étions que deux pour faire cette traversée, les jours suivants furent beaucoup plus sages. Le jeudi en fin d’après-midi, nous arrivions à La Corogne où nous allions pouvoir récupérer un peu.

Nous ...