1. Jardinage


    Datte: 01/03/2020, Catégories: fh, fhh, hplusag, vengeance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, occasion, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... attendu que Léa parte pour saluer mon fils et partir aussi. Ainsi il aura un alibi en béton. Dans la rue, alors que je saluais une dernière fois la charmante voisine, elle me dit :
    
    — Vous n’êtes pas pressé. Vous prendrez bien un dernier verre. J’aimerais bien que vous me racontiez, comment…
    
    On ne refuse pas ce genre d’invitation. Une demi-heure et deux verres d’un armagnac vieux de vingt ans, plus tard, Léa sait tout de ma supercherie. Elle rit à en pleurer. J’ose juste la question qui me taraude depuis ce jour.
    
    — Et votre mari ? Vous lui avez dit ?
    
    D’un seul coup, elle redevient sérieuse.
    
    — Non. Je n’ai pas osé. D’ailleurs il ne m’aurait pas crue. En plus – et je découvre une Léa timide, baissant les yeux comme fautive – vous étiez si…
    — Vieux. Je complète sa phrase. Vous avez raison, il aurait pu mal le prendre.
    
    Mais, elle réagit aussitôt.
    
    — Non, non, ce n’est pas du tout ce que je veux dire. Je ne pensais pas à cela. Votre âge. Mais quel âge ? Non, ce que je veux dire, c’est que cela avait été un moment très bien, très bon. Trop même. Vous aviez été si… j’avais… en réalité, j’avais un peu honte d’avoir eu tant de plaisir avec vous.
    
    Quel homme ne rêve pas d’entendre un si doux aveu ? Avoir apporté tant de plaisir à une femme qu’elle se sent coupable ! Que répondre ? Rien, bien sûr. Mais Léa semble se reprendre.
    
    — J’aurais dû lui dire. Vous savez, j’avais raison. Il était bien allé rejoindre Béatrice. C’est sa maîtresse. D’ailleurs j’imagine ...
    ... qu’il est avec elle, Pierre ne doit pas être chez eux.
    
    Je suis un salaud. Je ne pense qu’à profiter de la faiblesse des autres. Une main sur le genou de Léa, l’autre qui caresse sa joue, je ne peux que dire :
    
    — Voulez-vous que je reste un peu ?
    
    La réponse est sans paroles. Juste la tête qui se penche un peu pour mieux se caler contre ma paume et un genou qui se détache de son jumeau suggérant une opportunité. Mais le regard n’est pas celui d’une femme trompée ou délaissée, c’est plus celui d’une maîtresse qui se lève et sans un mot retire la robe qui lui allait si bien.
    
    Je découvre alors qu’elle ne portait rien dessous, corps nu, disponible à la moindre sollicitation. Je comprends la prudence de mon fils pour m’avoir fait venir et être le paratonnerre de la colère jalouse de sa copine qui aurait pu être méritée. Mais moi, personne ne peut plus me faire de reproches. Mieux, j’ai privé Léa de sa proie et suis volontaire pour en subir les conséquences.
    
    La punition est bien douce : me laisser dévêtir par cette femme qu’une ardeur retenue pendant trop longtemps rend maladroite. Qui va recoudre les boutons de chemise que son impatience fait rouler sur la moquette ? Oh, je trouverai bien une âme charitable parmi les amies de mon épouse regrettée.
    
    Elle m’entraîne à l’étage par un :
    
    — Viens, montons, nous serons mieux dans la chambre.
    
    Elle me pousse sur le lit et vient aussitôt saluer ma verge avec ses lèvres. Elle découvre ma queue déjà en pleine forme, alimentée ...
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