1. Jardinage


    Datte: 01/03/2020, Catégories: fh, fhh, hplusag, vengeance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, occasion, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... s’excuser de sa tenue.
    — Ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre, dis-je en souriant, question de bien montrer que j’apprécie le spectacle.
    
    Et j’ajoute, pour alléger mon propos.
    
    — Il fait si chaud ! Je vous comprends ! Moi-même, je préférerais être au bord de la piscine. D’ailleurs je vous prie d’excuser ma tenue un peu cavalière pour ma démarche.
    
    C’est vrai que je suis en polo et en short, n’ayant pas prévu, en partant de chez moi ce matin, que je ferais cette visite.
    
    — Mais non. Vous êtes très bien. Tenez, entrez, nous serons mieux au frais.
    
    La porte se referme derrière moi. Quelques pas en suivant une des plus belles paires de fesses que j’ai pu admirer ces dernières années. Elle me propose un rafraîchissement. J’accepte. Nous buvons en silence, mais je sens bien qu’elle réfléchit. J’imagine que tout se bouscule. Sa provocation. Son mari qui la défie. Cet homme qui débarque…
    
    Je me tiens bien droit, gonflant au mieux le torse, rentrant le ventre. À mon âge, je suis plutôt bien conservé, le cheveu blanc mais fourni, les épaules encore assez larges et les abdos en forme. Il est vrai que depuis la mort de ma femme, j’ai consacré beaucoup de temps au sport pour me vider l’esprit et éteindre certaines ardeurs. Mais pour la jeune femme que j’ai en face de moi, je crains de n’être qu’un « vieux ».
    
    — Vous êtes très belle, dis-je, parfaitement conscient qu’une femme quel que soit son âge aime entendre ce compliment. Votre mari n’est pas là ?
    
    Privilège de ...
    ... l’âge de savoir où « appuyer » pour que les mots portent.Belle,mari, voilà de quoi lui rappeler son défi.
    
    — Il travaille.
    
    C’est sa seule réponse.
    
    — Un dimanche ? Le pauvre ! Il vous laisse seule !
    
    Ces rappels semblent déclencher une réaction en chaîne dans son esprit. Elle aussi bombe le torse, mais c’est une poitrine magnifique qui répond. Son maintien change. Une silhouette agréable, bien faite se transforme en formes provocantes. Sa décision est prise. Elle s’avance vers moi.
    
    — Vraiment, vous me trouvez belle ?
    
    Question juste pour faire sentir à l’intrus que je suis qu’il peut oser. Son regard parle pour elle. Ses lèvres se pincent. Il me suffit de faire un pas et nous sommes à une distance que les physiciens appellentnanométrique, distance où l’état quantique permet toutes les audaces. La mienne est sans limites. Mes lèvres viennent effleurer les siennes. Nos corps ne se touchent pas encore mais, alors que mon baiser devient plus intrusif, une main vient se placer sur le galbe délicat de l’épaule alors que l’autre se plaque au creux des reins. Pas plus. Il ne faut pas plus que la simple position du cavalier avec sa cavalière, pour que la danse commence.
    
    Je suis d’une génération où la sexualité n’est que la fin heureuse et une réussite accomplie d’une sensualité bien engagée. Loin de nous, les idées modernes de la baise organisée, sans odeur ni saveur, tel un TGV de l’amour. Moi, ma femme s’est bien chargée de me l’apprendre, je suis à l’écoute de ma ...
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