Mon dépucelage avec la mère de mon copain (3)
Datte: 01/03/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: cheap, Source: Xstory
... la même chose que j’avais ressentie. Elle me serra dans ses bras et m’embrassa. J’étais avachi sur elle et en elle. Au bout d’un moment qui me parut court, je sentis mon sexe reprendre du volume et de la vigueur. J’avais tellement envie de recommencer. Elle se dégagea de moi, me retourna sur le dos et me chevaucha:
— Tu as pris du plaisir ?
— Oui, mais c’était trop court, et toi je t’ai fait du bien ? dis-je naïvement.
— Tu as été trop rapide mais c’est normal pour un débutant, ce sera mieux le prochain coup !
Elle m’embrassa puis descendit petit à petit le long de mon corps alternant bisous et léchage. Elle se glissa entre mes jambes et débuta une fellation. Sa langue parcourait mon sexe de haut en bas puis s’attardait sur mon gland. Puis, elle le goba et le téta. C’était délicieux. J’avais des spasmes dans tout le corps. Elle me rabattit les jambes vers ma tête pour atteindre l’espace entre mes couilles et mon anus et s’attarda dessus avec sa langue. Mon érection était encore plus puissante. Elle me chevaucha de nouveau et s’empala sur mon sexe. Elle mena la danse, je pelotais ses seins qui ballotaient à chaque mouvement de rein. Cela dura un bon moment, et je ne sais pourquoi, je me suis retiré, l’ai mise à quatre pattes et l’ai prise en levrette. Avec une telle excitation sexuelle, je devenais plus hardi. J’allais et venais en elle de plus en plus nerveusement, elle gémissait pour la première fois pour mois. Je ne sais pas si c’est à cause de ma première ...
... éjaculation précoce, la deuxième mis beaucoup plus de temps à venir et laissa Christiane le temps de jouir longuement sous mes coups de reins.
A la fin de mon exploit, je m’étalai sur le lit complètement mort. J’étais plus fatigué que lorsque je courrais les 20 minutes à l’école, mais avec un sentiment de bien-être que je n’avais jamais ressenti avant. Puis vint un sentiment de culpabilité d’avoir fait l’amour à la mère de mon pote.
Elle sentit ce changement alors qu’elle caressait mon corps bouillant.
— Qu’est-ce qu’il t’arrive mon grand ?
— Je ne sais pas, peut-être qu’on n’aurait pas dû faire cela ?
— Tu culpabilises ? Regarde-moi si je culpabilise ! Ça fait longtemps que tu es le copain de mon fils, je n’avais pas de pensée sur toi avant, mais depuis que tu es devenu un homme, tu me plaisais. Avant, j’ai eu quelques amants de mon âge voire plus, mais ce n’était pas ce que j’attendais.
— qu’est-ce que tu attendais ?
— J’avais envie d’un jeune fougueux, et ce qui m’excitait le plus c’était de te dépuceler. Je voyais bien que tu étais un grand timide et Pierre m’avait dit que peu de filles s’intéressaient à toi.
— En effet, et les seules que j’apprécie ne semble ne me vouloir que comme bon copain et confident et pas comme petit ami.
— Alors ne regrette pas, je voulais faire l’amour avec toi et je n’ai pas regretté mon initiative, parce que si je comptais sur toi il y aurait rien eu, n’est-ce pas ?
— Depuis cet été je fantasmais sur toi, mais je ...