Laurence se déchaine (1)
Datte: 28/02/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: jean-marie026, Source: Xstory
Tout d’abord, je me présente.
Je suis Jean-Marc, 52 ans, marié à Laurence, 50 ans. Nous vivons dans la région PACA, Aix-en-Provence exactement, dans un lotissement, une propriété avec piscine.
Je suis voyeur et fétichiste, un faible pour la petite culotte, un plaisir en solitaire. Tout est prétexte à mater.
19h0. Je viens de rentrer du travail après une journée stressante en laissant la tenue stricte du bureau. Rien de tel qu’une bonne douche, en plus des premiers rayons de soleil, bien présents pour cette fin mai, avant de glisser dans mon peignoir noir.
Laurence est installée dans son bain de soleil. Avant de sortir de la salle de bain pour la rejoindre sur la terrasse, je donne un coup d’œil dans la panière à linge. Car j’ai un rituel qui est de vérifier l’état de sa culotte du jour.
Ce matin elle portait une petite culotte en dentelle blanche, mais là je n’ai trouvé que celles des jours précédents.
Bien ! Je viens la rejoindre, un baiser du bout des lèvres, avant de m’asseoir au pied du bain-de-soleil, profitant de la vue qu’elle m’offre sous sa mini robe, qui n’est autre qu’un long tee-shirt rose pâle. Ayant replié ses jambes ouvertes, ne cachant rien de son entrejambe de coton blanc, à demi avalé par la dilatation de ses lèvres vulvaires, et se dessine une belle auréole, de sa petite culotte, qu’elle avait bien ce matin, me faisant baver des yeux.
— Bonjour, ma chérie ! Tu profites du soleil, je vois ! T’as passé une bonne journée ? Je te trouve ...
... bien songeuse !
— Bonjour, mon cœur ! Oui … Je viens d’avoir Anaïs !
— Ah ! Ta sœur va bien ?
— Pas trop ! Elle me demandait si elle pouvait venir avec Marine...
— Bien sûr ! Que se passe-t-il ?
— Elle va se séparer !
— Mais, qu’est-ce que tu dis là ? Après vingt ans de mariage !
— Elles arrivent ce week-end... Pour quelques jours...
Je ne pouvais cacher mon plaisir. Celui d’avoir sous mon toit, trois femmes, car Marine est une superbe femme malgré ses 17 ans. À tel point que mon regard pétille d’envie. De les croquer des yeux, bien sûr.
— Eh ! Mon gros cochon, tu ne serais pas en train de fantasmer, par hasard ?
— Tu sais bien que je fantasme pour un rien... Mais pourquoi dis-tu ça ?
— Ton regard ne trompe pas... À moins que tu bandes pour ce que tu mates ? Ma petite culotte...
— Tu veux boire quelque chose ?
— Hum ! Je me boirais bien une petite liqueur ! Approche !
Je compris où elle voulait en venir, le temps de me lever, et de venir à sa gauche, restant debout, dénouant le peignoir, lui laissant un plein accès à mon érection. Laurence se débarrassa de son petit vêtement, pour en faire une minutieuse auscultation, et me le tendit.
— Tiens mon cœur, fais-toi plaisir... Elle est comme tu les aimes... Abondante, crémeuse et surtout, parfumée... Régale-toi...
Déjà, sa main libre s’agrippe à mon membre bandant, qu’elle branle d’un mouvement délicat, avant de venir y joindre sa bouche, tiède, me suçant goulûment.
Rapidement, je me ...