Grandeur et Décadence (Partie III)
Datte: 28/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Quintessence2017, Source: Hds
... dresse devant moi, sans grand succès puisque mon autre bourreau me retient par le collier. Ils éclatent de rire. Je tends le bras, je tends la tête, je tente désespérément d'attraper le trésor. Je dois avoir l'air d'une malade, pourtant je m'en fous. Je veux sucer cette bite, je veux mon petit déjeuner, et surtout je veux rentrer dans leur jeu, être obéissante.
Plus je me démène, plus le collier m'étrangle. Et plus le collier m'étrangle, plus ils rient.
Puis, enfin, après un effort qui me parait interminable, la force qui retient le collier lâche. D'un coup.
Je me précipite sur la bite et l'enfourne dans ma bouche comme si ce gland était la plus délicate des friandises. D'ailleurs à cet instant précis, il m'apparait comme la plus délicate des friandises.
Je crache dessus, je le branle avec les lèvres, j'y met la langue, je remonte, j'embrasse le bout du gland, puis j'enfourne le tout le plus loin possible au fond de ma gorge.
Pendant ce temps, la deuxième bite nous a rejoints et se tient à quelques centimètres de mon visage. Je le branle à son tour. Puis je le suce à son tour. Mais sans délaisser le premier. Je branle les deux, je passe de l'un à l'autre avec gourmandise.
Les deux sadiques n'en finissent plus de se marrer. En fait ça m'excite. Je ne sais pas si c'est le sentiment d'humiliation, ou le résultat de l'abstinence, mais je suis déchaînée. J'en veux.
Ne sachant plus où donner de la tête, ou bien de la bouche, ou bien de la langue, enfin ne ...
... pouvant me résoudre à ne sucer qu'une bite à la fois, j'essaye d'enfourner les deux en même temps
L'essai est peu concluant, alors je ne met pas longtemps à me résigner à repasser à une méthode plus classique.
Je redouble d'efforts, je branle, je suce, je lèche comme une folle. Je m'aventure même jusqu'à leur gober les couilles.
Et enfin, le premier des deux décharge dans ma bouche. Je regarde l'auteur de la jouissance, satisfaite. Seule une malheureuse goutte perle au coin de mes lèvres, ce à quoi je remédie d'un coup de langue avide. Mon généreux donateur sourit et m'ordonne :
"Bien, maintenant avale."
Je ne me fais pas prier. Pourtant, son camarade, jaloux, s'empare d'un martinet de ma collection personnelle et me saisit par les cheveux.
"C'est pas fini sale pute !" hurle t-il en forçant sa bite dans ma bouche à peine vidangée du sperme qui venait d'y être versé.
D'une main, il me tient les cheveux pour me forcer à sucer à son rythme, de l'autre il m'envoie de grands coups de martinet sur le cul.
"Alors t'aimes ça sucer ? Fais-moi voir comme t'aimes ça !"
Il est de plus en plus violent, aussi bien pour me tirer les cheveux, que pour me flageller.
Les coups qui redoublent m'arracheraient des hurlements de douleur, si son énorme sexe ne venait pas les étouffer au fond de ma gorge.
Finalement, il se vide à son tour dans ma bouche en un long râle. Les coups de martinet cessent, il me lâche les cheveux, puis se ressaisit :
"Fais-moi voir tout ce ...