1. Petite pute (1)


    Datte: 28/02/2020, Catégories: Gay Auteur: Emil, Source: Xstory

    Je ne sais pas ce qui m’a pris. Non, non je ne sais pas ! Mais j’ai fini par la publier cette petite annonce sur Internet : « homme prêt à tout, adorant être traité comme une petite pute, cherche partenaires capables de l’humilier et de le prendre par tous les trous ». Dès le premier jour, j’ai obtenu plus de quarante réponses. Une seule a retenu mon attention : « nous habitons à (...) et espérons te donner du bonheur ; viens vers vingt-deux heures à pied entièrement nu sous un unique vêtement et nous te donnerons tout ce que tu souhaites ». Leur domicile est à moins de deux kilomètres du mien. Même nu sous une chemise, je n’aurai pas plus d’une vingtaine de minutes à pied pour les rejoindre. Je suis tenté.
    
    À neuf heures et demie, j’enfile une chemise longue sur mon corps dénudé agréablement parfumé et je prends la route. Le temps est frais mais ce que j’espère au bout du chemin me réchauffe et me mets les sens en éveil. Dès le premier kilomètre mes zones érogènes se réveillent. Je bande à demi, mon cul s’échauffe et ma bouche salive. Mon état d’excitation est visible par ceux que je rencontre. J’ai honte mais, en même temps, je suis ravi de m’exhiber ainsi. Le parcours n’est pas évident. De nombreux bars ouverts jalonnent ma route. J’essaie de me faire le plus discret possible, mais plusieurs consommateurs ne suivent du regard. Le vent soulève par moments ma vêture et dévoile en partie mon intimité. Ma honte et mon plaisir en sont stimulés.
    
    Lorsque j’arrive au port, ...
    ... deux personnes sont occupées à deviser sous un réverbère. Je sonne à l’interphone de la maisonnette de destination. Une voix masculine me répond : « enlève ta chemise et attends qu’on vienne te chercher ». Je m’exécute sous le regard amusé des deux comparses. Ils s’approchent et contemplent mon corps replet. Ils le touchent du bout des doigts et l’émotion me gagne. Mon sexe se redresse et je deviens pivoine. Personne ne vient et mes deux compagnons s’amusent de mon attitude. L’un viole ma bouche d’un doigt habile tandis que l’autre me caresse les fesses et glisse un doigt entre elles. Je me demande si mon hôte ne contemple pas la scène par la caméra de l’interphone. Une main saisit mon sexe et le branle. Je suis mort de honte et d’inquiétude quand soudain la porte s’ouvre et me permet d’accéder à la maison en compagnie de mes deux acolytes.
    
    Le visage hilare de mon hôte me confirme qu’il a suivi la scène. Ils seront donc trois à s’intéresser à mon corps dénudé. Au salon, il m’accompagne du geste pour que je m’installe à quatre pattes sur le canapé. L’un envahit ma bouche de son sexe subrepticement sorti de sa braguette, pendant qu’un autre écarte mes fesses et me lèche avec application la rondelle. Le troisième continue la branlette initiée devant la porte. Ma gorge s’habitue au contact du gland qui ne cesse de la heurter. Mon cul est envahi par un long pénis assez fin qui me surprend alors qu’il entre en moi sans résistance. Le « branleur » s’est agenouillé et entoure mon ...
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