1. Ma sœur Faten. (4)


    Datte: 27/02/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... suis resté tout seul dans la pièce, le temps de brûler une sèche, puis je suis passé par les toilettes et au moment d’aller me coucher, je ne savais pas où. Mais si j’avais bien entendu, la petite était dans sa chambre et Faten avec ma mère. C’est donc normal que je me suis dirigé vers ma chambre ; heureusement, elle était vide. Je me suis déshabillé et me suis mis tout nu sur mon lit. Je ne sais pas quand je me suis endormi, mais je fus réveillé par je ne sais quoi, j’étais allongé sur le ventre et j’ai senti qu’il y a une personne debout à mes pieds. Il me fallait réfléchir vite et bien. Tout mon corps frémit, j’ai senti le danger, mais je n’osais pas bouger. J’ai attendu, un temps minimum, pas plus de 30 secondes pour me décider et il le fallait.
    
    D’un bond, j’étais debout sur le lit, face à l’étranger. Ma rapidité avait pris de vitesse l’intrus. C’était Faten, elle était là, vêtue de cette fameuse robe de mariée. Elle s’était penchée, pour me toucher le corps ou pour me réveiller et je l’ai prise de vitesse. Ne s’attendant nullement à ma réaction rapide, elle avait mis sa main à sa bouche et se retourna pour se sauver. Sans m’en rendre compte, je l’ai rattrapée juste devant la porte. Elle se débattait pour se libérer de mon emprise, mais je l’empoignais fortement. Elle lâcha prise, mais elle me mordit férocement au bras. Elle me faisait mal, mais je ne l’ai pas relâchée. Je l’ai soulevée dans mes bras et je l’ai déposée doucement sur le lit. Elle se retira vers le mur ...
    ... comme un garçon qui avait peur d’être battu. Je montai sur le lit.
    
    « Non, nous irons en enfer, non, c’est un péché ! »
    
    Lentement, je l’agrippai par les jambes que je la forçai à les écarter. Je me plaçai entre elles, je fis glisser la robe de mariée, recouvrant sa nudité, jusqu’aux premiers poils bruns et soyeux de son pubis.
    
    À la vue de cette chatte, ma bouche s’entrouvrit et ma respiration s’accéléra, mes mains tremblantes de désir et de peur palpèrent ses cuisses pour bien en apprécier la rondeur et la fermeté.
    
    À moitié nue, à ma merci, je n’écoutais ni ses protestations et ni sa résistance.
    
    « Non..., non..., tu n’as pas le droit..., arrête, je suis ta sœur ! »
    
    Ses paroles étaient vaines et ne faisaient qu’augmenter mon désir.
    
    Le souffle haletant, je me penchais sur elle :
    
    « Laisse-toi faire, je sais que ça te plaît..., laisse-moi te caresser..., laisse-moi te baiser... ! »
    
    C’est les mots que je voulais prononcer, mais ils ne sortaient pas de ma bouche.
    
    Lentement, j’expose à mon regard lubrique, son Mont de Vénus bien bombé et recouvert d’un doux duvet brun, tandis qu’elle tente, vainement, de refermer ses longues jambes.
    
    « Non..., non..., nonnnn... ! »
    
    Au moment où j’allais explorer l’endroit le plus secret et le plus intime de son corps, alors qu’elle protestait et résistait, mon pénis se gonflait de plaisir !
    
    Forçant le passage, en lui écartant les lèvres de son sexe, mon sexe fouillait, lentement, les replis étroits et humides de ...
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