Ma grosse Elodie (1)
Datte: 27/02/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Hartigan23, Source: Xstory
Je m’appelle Antoine et à 23 ans, je dois me farcir un de ces stages de fin d’études. Du coup, je traîne mon mètre quatre-vingt-huit dans les couloirs d’une boîte parisienne, affecté au service juridique. La bonne nouvelle, c’est que le groupe de stagiaires avec lequel je bosse se compose exclusivement de jeunes filles. Un des bons aspects des filières en droit ! Il y a vraiment de très belles représentantes de la gent féminine, une blonde, une brune, une à la peau bronzée... Et pourtant !
Pourtant, celle qui retient le plus mon attention n’est pas une de ces beautés fines et élancées : c’est la dernière arrivée dans le groupe de stagiaires, Elodie. Elle a une peau mate mais assez pâle, des cheveux noirs lisses et mi-courts, de belles joues ; mais surtout, elle est plutôt petite (1,60m à vue de nez) et, disons-le franchement, assez corpulente. C’est largement la plus marrante du groupe, la moins coincée, la plus taquine ; pleine d’autodérision, elle assume ses formes et je ne peux me retenir de lancer des coups d’œil discrets vers sa poitrine, qui de toute façon ressort quoi qu’elle mette.
Je la trouve incroyablement bandante.
Elle est très mignonne même (et surtout !) sans fard et autres maquillages, sa jolie bouche suffit à me faire rougir et évidemment je me retourne chaque fois que je peux dès que je la croise dans les couloirs, admirant son joli déhanché. Même dans une robe, je vois ses fesses généreuses se mouler dans le tissu, à chaque pas, c’est devenu ...
... presque obsessionnel.
Je l’ai souvent cornaquée lorsqu’elle devait apprendre à taper un compte-rendu juridique. Assise à côté d’elle à son bureau, chaque contact avec sa peau douce était un risque de plus pour ma santé mentale, je devais me retenir de la déshabiller sur place, elle était vraiment trop... Belle avec son village simple et ses courbes qui se balançaient sous ses vêtements, je voyais parfois dépasser une bretelle de soutien-gorge, cela suffisait à rendre tout contact avec elle électrisant... Un jour, dans un mouvement soudain, j’ai eu peur qu’elle touche de sa main la demi-molle qui m’était venue quand j’ai vu une partie de son soutien-gorge dépassant du col de sa robe...
Le lendemain, je reçus un mail d’elle, alors qu’elle n’était pas au bureau :
"Rendez-vous ce soir chez moi, à 18h. Elodie"
Sans autre commentaire que son adresse...
Je partis donc un peu plus tôt de mon bureau, me rendis dans cette rue du nord de Paris. Alors que je me postai devant l’adresse convenue, elle me surprit en arrivant derrière moi, me disant bonjour de son beau sourire. Elle était vêtue d’une jolie et large robe verte, de petites sandales, elle avait lissé ses cheveux noirs... Autant dire que son charme n’avait pas disparu en un jour...
Elle m’invita à monter. Ma température corporelle devait être équivalente à l’Etna en éruption l’été, et chaque marche montée, les yeux bloqués sur les fesses qui bougeaient juste devant moi, renforçait mon état...
Sitôt la porte de ...