1. Démarcheur à domicile. 1


    Datte: 27/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... ça. Mais je regrette que tu réserves l’utilisation de ton objet pour mes périodes d’absences. J’aimerais voir si tu as autant de plaisir avec ton Rabbit vibrant qu’avec ton mari.
    
    - Sûrement pas, mon amour, mais Clarisse la vendeuse prétend que beaucoup d’utilisatrices apprécient la douceur au toucher et la souplesse de ce lapin. De plus ses dimensions, dix-sept centimètres de long et trois de diamètre correspondent à ce que tu me proposes habituellement. En l’utilisant je ne penserai qu’à toi
    
    - .Trouves-tu la comparaison flatteuse ? Je me sens rabaissé au niveau d’un objet sans âme. As-tu une autre surprise ?
    
    - Ce n’est pas une surprise, c’est un complément indispensable, un tube de lubrifiant.
    
    - J’attends avec impatience de voir comment tu vas l’utiliser. Ce soir ?
    
    - Oui, pour te faire plaisir, mon chéri. A condition de terminer avec toi.
    
    Après la toilette du soir, nous rejetons drap et couverture. Marion a enfilé une nuisette sexy achetée lors d’une réunion précédente. Je ne porte que ma veste de pyjama. Avec application elle verse quelques gouttes de lubrifiant sur le corps du jouet, fait coulisser sa main sur l’imitation de sexe viril et sur l’excroissance en forme de tête de lapin. Pour affronter la comparaison je me prends en main et je m’astique le pénis à la même allure. Marion m’observe par dessous, est heureuse de ma participation, elle place son jouet à côté du mien :
    
    - J’ai bien choisi, ils se ressemblent vraiment. Veux-tu me lubrifier les ...
    ... lèvres ?
    
    - Non ! Tu es sensée utiliser le lapin un soir de grande solitude. Tu te débrouilles seule. Je suis un curieux, une caméra, je vois, je n’aide pas.
    
    - Oh! Oh! Tu n’oublies pas de te masturber ! Bon, ne t’inquiète pas, je vais y arriver.
    
    Elle reprend son tube, mouille l’extrémité de ses doigts, s’allonge sur le dos, remonte ses talons sous ses fesses, ouvre ses genoux et va caresser sa chatte avec douceur. C’est un geste habituel : les doigts vont et viennent en surface, de la toison pubienne au plus loin entre les fesses. Ce geste a toujours sur moi un effet réflexe; quand je vois le majeur s’immiscer entre les lèvres comme un soc et tournoyer dans le bas de la vulve, quand le souffle de Marion à ce contact devient plus fort, entre mes doigts mon sexe durcit.
    
    C’est encore le cas ce soir. Mais cette préparation ne m’est pas destinée. Dans la main gauche Marion tient le jouet, elle approche la pointe arrondie de ses lèvres, cherche la fente, y fait glisser le dos vers le bas, remonte le sillon, s’assure que l’emplacement est bien à sa portée. Son bras remonte devant ses yeux. Elle tient la base à deux mains, trafique avec ses doigts, réveille le tremblement endormi, me sourit et d’un air décidé renvoie le corps étranger sur son sexe, éprouve l’effet des vibrations sur ses grandes lèvres. Elle s’enhardit, présente la tête à l’entrée de son vagin
    
    - Oh ! Ça chatouille. Il faut descendre progressivement. Encore. Oh !… c’est bon, tu sais. La pointe des oreilles ...