1. Élise libertine 3 pour service rendu


    Datte: 26/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jacanas, Source: Hds

    Éric (célibataire élégant cultive et courtois) vient souvent prendre quelques verres. Devenu notre ami nous lui faisons confiance pendant nos absences il récupère nos clés de maison, s’occupe du chien et assure une présence. A notre demande il fait comme chez lui.
    
    Mai 1982 Peu avant notre départ pour le pacifique nous vendons nos voitures. Éric nous prête sa berline Granada 2,8l pour laisser nos enfants quelques jours dans la famille. Nous rentrons de notre voyage vers 19h avec un jour d’avance.
    
    Il est installé devant la télé dans un fauteuil en short torse-nu avec un verre à la main et Napo le chien à ses pieds.
    
    Lui : « Salut vous avez fait vite, cela s’est bien passé ». Echange de bises
    
    Moi : « très bien les enfants sont casés jusqu’au départ. Merci, la voiture cela nous a dépannés. J’ai fait le plein. Ça va»
    
    Lui : «il ne fallait pas. J’ai fait un footing avec Napo il m’a fait suer. Je sors de la douche. Vous trinquez avec moi ?
    
    Nous en cœur : « Oui!! Si Tu n’as rien de prévu ? Tu restes diner» il nous sert et nous trinquons.
    
    Pendant que l’on refait le monde Élise part se doucher et se changer. A son retour elle est vêtue d’une minirobe légère blanche boutonnée sur le devant. Le vêtement ajusté souligne la ferme poitrine et laisse deviner les formes de ma légitime.
    
    Moi : « tu es magnifique chérie »
    
    Lui : « c’est vrai beauté tout te met en valeur»
    
    Elle va dans la cuisine préparer le repas. Elle crie « Éric remet ma tournée ...
    ... j’arrive»
    
    Pendant qu’il sert. Je la rejoins dans la cuisine et passe ma main sous la robe. Surprise pour moi pas de culotte.
    
    Elle : « je fais comme Éric, j’ai vu il est nu dans son short. Lui ne sait pas que je suis nue ».
    
    Nous retournons au salon finir l’apéro et passons à table. Un diner léger et une bouteille et demi de rosé plus tard nous repassons au salon pour le café je chuchote à Élise qui file en cuisine« tu t’exhibes un peu pour le remercier» Elle ne dit rien.
    
    A son retour elle sert le café et s’installe sur le tabouret de cuir face au fauteuil d’Éric. Pendant que nous énumérons les formalités pour notre départ je vois ses cuisses s’ouvrir quand elle repose sa tasse elle reste ouverte ainsi.
    
    Notre convive attentif ne peut ignorer la fourche dévoilée.
    
    Elle se lève pour débarrasser. Je dis « laisse! Je m’en occupe ». Je ramène tout dans la cuisine d’où j’observe l’évolution de la situation.
    
    Élise retourne s’assoir mais sur l’accoudoir du fauteuil d’Éric et se colle à lui. Dans la conversation elle prend la main de notre ami et l’air de rien la pose sur son genou. La main effleure la peau du genou vers la cuisse. Le regard du bellâtre est captivé par la poitrine provoquante qui le nargue.
    
    Éric murmure : «tu sens bon ma caille, ta peau est douce.»
    
    Elle : « c’est normal je sors de la douche »
    
    Élise remarque que la vie se réveille dans le short. L’aventureuse de façon à entrer en contact avec l’objet de sa curiosité se déplace sur les genoux de notre copain ...
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