COLLECTION HISTOIRE COURTE. Formation (1/1)
Datte: 26/02/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... beau temps, tu pourras manger à la terrasse de l’un d’eux.
Cela me rappelle une fois où je mangeais seule, un beau gosse lui aussi à la table voisine, m’a offert le digestif, inutile de te dire que ce soir-là, j’ai passé une nuit du même genre que celle de mon hôtel borgne.
• Véronique, je suis mariée, j’ai trois enfants, tes turpitudes bordelaises, tu les gardes pour toi, mais 1 500 mètres, aucun problème donne-moi son adresse.
• Je regarde sur le site des hôtels, il y en a un à 100 mètres, tu auras des chances de retrouver d’autres personnes dans ta formation et vous passerez la soirée ensemble.
• Il y a des chambres libres dans ton hôtel à 1 500 mètres.
• Je regarde.
Hôtel du relais bordelais, il reste une chambre, qu’est-ce que je fais.
• Je raccroche, j’ai l’application sur mon portable, je vais la réserver.
C’est ainsi que trois semaines plus tard, je dépose ma valise avant de me rendre à l’adresse de ma formation.
C’est super ces téléphones, je donne le point A et B et 1 500 mètres plus tard, je suis dans le hall d’une société spécialiste de formations.
Nous nous présentons, le formateur à deux avantages, il est sympa et semble connaître son sujet, nous saisissons ses explications quelques fois techniques, car il connaît très bien son sujet.
Je suis la seule de ma société et la seule de Périgueux sur les dix stagiaires.
• Joëlle, dis-moi, je ne t’ai pas vu à l’hôtel du centre ce matin quand nous avons déposé nos valises, ou te ...
... caches-tu dans Bordeaux, tu as un galant et tu profites de ta liberté pour courir le guilledou.
• Non, Adeline, je suis chez des amis qui sont contents de me recevoir, on se voit rarement.
• Alors bonne soirée, je sympathisais avec Lionel, nous allons passer la soirée en tout bien tout honneur, je suis fidèle à mon mari.
Lionel, le balaise aux gros bras, si j’avais eu à choisir, ce qui n’est pas le cas, j’aurais choisi Yvon, le représentant de commerce bien qu’il soit un peu casse couille à toujours l’avoir ouverte.
Il est 19 heures quand je descends pour me rendre au restaurant, j’ai pris un bain prenant mon temps, c’était divin, se prélasser dans l’eau bien chaude sans qu’un de vos trois enfants ne frappe à la porte, l’un des deux autres l’ayant ennuyé.
L’eau était tellement à mon goût que je me suis surprise à m’assoupir et au moment où je suis revenue dans ce monde, je me caressais le clitoris.
Combien de temps, de mois, d’années que je ne l’avais pas fait, au plus loin de mes souvenirs, c’est lors de l’éveille de mon corps, que j’avais pris l’habitude de le caresser jusqu'à m’en faire jouir.
J’ai été plus raisonnable ce soir, avant le but suprême, ma volonté a été la plus forte et je me retrouve dans le hall de l’hôtel, le bar est ouvert, je me sens le besoin de prendre un petit remontant.
• Joëlle, me permets-tu de t’appeler Joëlle et de te tutoyer, c’est drôle, tu es dans le même hôtel que le mien.
• Monsieur Lucas, c’est vous, comment se fait-il ...