1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (20/23)


    Datte: 26/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... et a voulu protéger sa petite fille !
    
    Quand je réfléchis bien, chaque fois que j’ai posé la boîte, je trouvais plus jolie de mettre ce rond plus foncé sur le dessus.
    
    N’a-t-il pas été placé là pour piéger ceux qui ignoraient comme moi sa fonction ?
    
    Dans mon sac, il devait être dans tous les sens et déclencher sa fonction baise.
    
    Un point m’intrigue, le Puppy.
    
    Pourquoi Martine ignorait-elle ses pouvoirs ?
    
    Pourquoi sa petite fille les connaissait et pas elle ?
    
    Je sens que je n’éclaircirais jamais ce mystère et j’ai assez de connivence avec elle pour qu’il ne me soit d’aucune utilité.
    
    • Ma chérie, pourquoi es-tu là, ta visite me fait bien plaisir.
    
    Insidieusement, je récupère la boîte, la repose le rond-de-cuir caché et je ferme mon tiroir.
    
    • Lison, le jour de ton mariage, tu auras une surprise, c’est comme pour les vœux, ne me pose pas de question, je ne t’en dirai pas plus.
    
    • Dis-moi, pourquoi es-tu là ?
    
    • J’avais le dernier essayage de ma robe, dans la boutique un peu plus loin, je venais te faire une bise, j’ai hâte à porter ton nom, ton fils est un garçon incroyable.
    
    • Sais-tu déjà ce que sera mon petit-fils ?
    
    • Inutile d’essayer de m’embrouiller, nous refusons nous-mêmes de le savoir, de plus ma prochaine éco est quelques jours après la cérémonie.
    
    • Tu montes boire une petite collation.
    
    • Non, j’ai cours dans trois quart d’heure.
    
    Le temps passe, je sais comment ranger le Puppy comme elle l’a appelée jusqu’à deux jours du ...
    ... mariage.
    
    À mon tour, vers 18 heures, je ferme la boutique un peu plus tôt que l’heure normale, Jennifer brillant par son absence.
    
    Je me rends chez ma modiste, moi aussi j’ai le dernier essayage des vêtements que j’ai choisis pour ce grand jour, ce n’est pas tous les jours que je vais marier mon fils
    
    La météo nous étant annoncée radieuse, je choisis définitivement le chapeau que je porterai, on m’a toujours dit que j’avais une tête à chapeau.
    
    • Véronique, c’est Lucas, je pourrais te voir ? Marie est partie avec les pèlerins et je voudrais te montrer le car qui va conduire tes invités.
    
    • 16 heures, cela ira !
    
    • Aucun problème, le temps me paraît long à attendre le mariage de mon fils.
    
    • Le garage est fermé, je suis seul, tous les mécanos ont eu des RTT, tous les bus étant partis.
    
    J’arrive à l'heure en tenue décontractée, jean, baskets et chemisier noué sous les seins.
    
    Lucas est là, quand je gare ma voiture près du car sans âge, je manque d’éclater de rire quand il se retourne.
    
    La casquette ça va, le pantalon sortant de la blouse grise comme ils en ont dans les films de cette époque ça va encore, mais la paire de bacantes style « Les brigades du tigre », mérite que je pouffe de rire.
    
    • Je vois que je te fais rire, c’est le but, quand j’ai mis ce postiche avant que Marie ne parte, elle m’a dit que cela me rendait ridicule.
    
    Moi ça me conforte dans ma vie, j’aurais aimé conduire des cars dans ces années-là.
    
    Je lui saute au cou.
    
    • Tu es ...