La femme qui aimait la sodomie
Datte: 26/02/2020,
Catégories:
fh,
telnet,
cérébral,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
fsodoh,
Auteur: Galange, Source: Revebebe
... cambrée à quatre pattes, elle se pencha un peu en avant et glissa son bras droit sous son ventre pour que sa main atteigne sa vulve. Ses petits doigts s’agitèrent sur sa vulve, tandis que mon gland pénétrait son trou du cul. J’entrais petit à petit, avec patience. Je n’étais pas un novice en la matière, je savais comment m’y prendre avec le trou de balle d’une fille. Néanmoins, c’était la première fois que je le faisais à une femme réellement excitée par cet acte. Je distinguais mal son visage à cause de la position, mais il m’arrivait de voir sa mâchoire serrée. Non, ce n’était pas facile pour elle, l’intrusion de mon sexe en elle par cette entrée, mais elle était volontaire, elle savait que pour arriver au plaisir qui suivrait sans nul doute, il fallait en passer par cette douleur préliminaire. L’anus, avant de procurer du plaisir à Marianne, lui donnerait un peu de mal.
Ça y est, mon sexe était en elle, jusqu’à la base. Je me reculais, mon sexe faisait machine arrière, puis machine avant. L’anus rendait les armes. Il était battu, le plaisir de Marianne était là et le mien aussi. Elle commençait à gémir de plaisir tandis que ses doigts s’agitaient en dessous. Mon rythme s’accélérait, jusqu’à aller franchement vite et fort. Je la prenais par-derrière, en sodomie. Je la baisais par le cul. Et, putain ! elle aimait ça !
Vision formidable qu’une femme que l’on sodomise et qui aime ça. Je pensais aux autres en même temps, aux autres femmes que j’avais connues ou dont je ...
... connaissais l’existence et qui détestaient – certaines avant d’avoir essayé – cette pratique, et le plaisir physique de sodomiser se mêlait à un plaisir mental, à ce plaisir du tabou, de l’acte interdit ou peu aimé.
Elle n’avait pas menti, elle adorait ça. Je tenais fermement ses fesses, je caressais son dos, ses cheveux. Je la chevauchais par le cul, j’y allais vraiment fort par moments. Et elle aimait, croyez bien que je ne la forçais pas. Après avoir pensé aux autres femmes, je pensais aux autres hommes. À ceux dont l’épouse refuse cette pratique et qui fantasment chaque jour en se masturbant sur cette idée dans leur salle de bains. Et puis à l’ex-amoureux, celui qui l’avait tellement enculée, ma jeune Marianne, celui qui l’avait initiée à ce plaisir si rare. Pourquoi l’avait-il quittée ? Avait-il trouvé mieux ? Si oui, je demandais à voir. À tous ces gens, je pensais régulièrement au fil de mes pénétrations anales avec Marianne. Que c’était bon de la sodomiser, ma jeune Parisienne douce et coquine ! Que c’était excitant ! Je ne vous relaterai pas tous nos ébats, je terminerai seulement avec la conclusion de cette sodomie-ci.
L’orgasme arriva. Pas le mien, le sien ! Cette coquine eut un orgasme violent – bien davantage que ceux qu’elle eut avec moi dans d’autres pratiques – alors que je l’enculais comme si mort devait s’ensuivre. Elle se fit jouir par le clito pendant cette pénétration anale. Avait-elle joui davantage du clito ou de l’anus ? Personnellement, je pense ...