1. Saint-Tropez (2)


    Datte: 26/02/2020, Catégories: Hétéro Auteur: papamambo, Source: Xstory

    ... d’épouses d’amis, mais peu, c’est vrai, souvent des femmes que j’ai aimées ou aime encore. En bref, les chemisiers blancs sont des amies les chemisiers rouges des amantes...
    
    Elle tourne les pages et me fait remarquer qu’il y a beaucoup de chemisiers rouges...
    
    Je passe mon bras gauche autour de ses épaules pour mieux lui expliquer quelques photos ; je la sens se détendre ; l’alcool aidant sans doute, je rapproche mon visage du sien et lui glisse un baiser dans le cou, derrière l’oreille, avec douceur là où je sais que se situe un point sensible chez beaucoup de femmes.
    
    Elle tourne la tête et m’embrasse si fougueusement que je renverse presque mon bourbon...
    
    — Pardon, me dit-elle, un peu gênée.
    
    Je ris tant sa gêne est amusante !
    
    — T’inquiète, je veux bien tout renverser si tu m’embrasses toujours ainsi ; et je reviens vers sa bouche en posant ma main sur son sein droit doucement avec tendresse. Je sens le bout de ses seins se durcir dès le contact, ce qui est un signe de plaisir incontestable.
    
    — Je vais te paraître idiote, mais tu sais, j’ai peu d’expérience avec les hommes.
    
    — Pourtant tu as une sacrée prestance, je t’aperçois au loin assez sûre de toi, surtout au téléphone, dis-je en plaisantant. Tu dois rendre les mecs fous d’amour ?
    
    — L’école des cadres fait de nous des furies de communication, mais ça ne change pas toujours notre caractère intime et je ne suis pas trop coureuse d’aventures ; surtout quand je vois le nombre de tes chevaux et des ...
    ... "cavalières en rouge", me lance-t-elle, le regard luisant...
    
    — Je suis bien plus âgé que toi, c’est normal, j’ai pris de l’avance...
    
    Et je lui masse doucement les seins puis descends vers ses genoux, les caressant doucement ; sa peau si douce commence à me donner de la chaleur dans le bas-ventre.
    
    — Tu me fais de l’effet que je lui chuchote et je pose sa main sur la bosse de mon pantalon en l’embrassant pour qu’elle n’ait pas à répondre.
    
    Elle réagit bien puisqu’elle me masse le sexe doucement avec ses doigts fins et tièdes.
    
    M’enhardissant, je glisse ma main plus haut sur ses cuisses, en la couchant sur le dossier du canapé ; elle écarte alors ses cuisses tièdes pour me faciliter le passage. Je sens monter en moi le sentiment d’un mâle conforté de son charme...
    
    Ma main atteint son sexe brûlant au travers de sa culotte et je sens l’humidité qui indique qu’elle prend plaisir à ma caresse ; elle gémit doucement et se laisse aller à m’embrasser plus intensément en massant mon sexe à un tel point que je doive me dégrafer si elle continue ainsi...
    
    — Tu sais, j’ai une chambre bien plus confortable pour ça.
    
    — Je veux bien, mais j’aimerais passer au cabinet de toilette ; j’aime l’hygiène qu’elle me rétorque à ma grande satisfaction.
    
    — Je suis bien en accord avec toi ; va là-haut ; face à l’escalier, une salle de bain donne sur ma chambre, tu trouveras un peignoir dans le placard, je vais aller dans celle du bas, je te rejoins.
    
    Cet instant d’interruption d’un ...
«1234...»