1. Vacances 2018 (1)


    Datte: 25/02/2020, Catégories: Erotique, Auteur: dominic47, Source: Xstory

    ... cravache dans l’autre. Elle a envie de savoir ce que Christine a prévu ; pourquoi ces menottes ? Allait-elle lui infliger une punition ? Toutes ces questions et bien d’autres se bousculaient dans sa tête, avec appréhension, peur, mais aussi avec une grande dose d’adrénaline, des fourmillements dans le bas du dos, une fébrilité parcourant son corps. Elle voulait des réponses, mais Ophélie ne devait pas parler, et cette obligation consentie développait sa psyché.
    
    Christine a prévu une soirée calme. Elle veut dans un premier temps habituer sa belle-sœur à rentrer dans un autre personnage, se laisser conduire, se familiariser avec l’obéissance, accepter malgré les réticences, espérer la jouissance, vouloir que le jeu ne s’arrête pas.
    
    Arrivées devant la piscine, Christine demande à sa belle-sœur de s’installer sur un transat à quatre pattes, puis mettre sa tête sur le matelas. Avec sa cravache, elle appuie sur les reins d’Ophélie pour lui indiquer de se cambrer, donne de petites tapes sur l’intérieur des cuisses afin qu’elle s’écarte plus. Oh, bien sûr, Ophélie s’était, plusieurs fois, retrouvée en levrette: position qu’elle aimait d’ailleurs, car elle pouvait être prise plus profondément. Cependant, aujourd’hui, ce n’était pas sur un lit dans une chambre, ou dans une pièce close, mais près d’une piscine, au grand air, qu’elle exposait toute sa luxure ; et le pire, c’est que dans cette attitude écartée, les mots : chienne et saillie lui parcouraient l’esprit, et ces ...
    ... évocations déclenchaient un ruissellement.
    
    — Tu es provocante... Mais que tu es belle !
    
    Elle se penche et pose sa main sur l’intérieur des cuisses.
    
    Mais dis donc... Tu mouilles...Ça t’excite.
    
    Tu te rappelles ce gage pour avoir triché... Je pense que cela mérite une punition.
    
    Christine se positionne sur le côté de sa belle-sœur et commence à lui administrer quelques coups de cravache. Les frappes ne sont pas fortes. C’est juste un conditionnement, les prémices pour voir comment réagit Ophélie et quelles sont ces prédispositions. Après une vingtaine de pichenettes infligées par la badine, Christine s’arrête, vient caresser les fesses, puis descend vérifier l’état de sa chérie. Lorsqu’elle pose sa main en conque sur sa vulve, un soupir de contentement s’échappe de sa chérie et Christine constate que les lèvres sont bien écartées, trempées au-delà de ses espérances. Elle enlève alors sa main souillée et la présente à sa belle-mère.
    
    — Ouvre la bouche, ma chérie.
    
    Elle lui enfonce deux doigts dans la bouche
    
    Allez, fais pas la timide, lèche mes doigts...
    
    Ophélie n’a jamais goûté à son jus ; aussi, elle est surprise, un peu désorientée par cette perversion, puis très vite, elle laisse ses instincts la dominer, avale les doigts, les goûte, les lèche consciencieusement, puis les suce avec délectation. Sa belle-fille est ébahie par la transformation. Cette libido est contagieuse, aussi Christine ressort les doigts et sans fioriture, les enfonce le plus loin qu’elle ...