Vacances 2018 (1)
Datte: 25/02/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: dominic47, Source: Xstory
... puis, de doux baisers les remplacent, elle défait enfin les nœuds du maillot, les doigts se posent ensuite sur l’intérieur des cuisses ; consciemment, Ophélie les écarte, ouvrant le passage vers l’intérieur, puis la main effleure les lèvres intimes ; Ophélie souffle. Les mouvements sont doux, sensuels, mais le caractère impétueux de Christine refait rapidement surface. Elle accroche ses mains aux hanches, tire, demande à sa chérie de reculer son bassin, et comme ce n’est pas suffisant à son goût, elle lui claque le cul gentiment, puis la force à se cambrer. Ophélie est sidérée par cette frappe sèche ; mais en même temps, elle l’embrase, elle mouille, aussi quand sa belle-fille plaque la bouche sur son abricot, elle tremble de plaisir.
La langue entre en action ; elle lape, devient curieuse, taquine les lèvres, s’enfonce dans le méat juteux et aspire tout ce qui coule. Ophélie gémit en continu, or ces doux bruits plaintifs ne font que griser Christine, elle se déchaîne. Sans aucun répit, la langue alterne maintenant entre la rosette qu’elle apprivoise, la vulve qu’elle fouille, puis colle sa bouche sur le bouton d’amour, le titille, l’aspire, puis le mordille. La réaction est immédiate. Ophélie crie sur un premier spasme, puis un deuxième, et enfin, l’orgasme éclate, suivi d’un râle profond. Elle tombe ensuite dans un abîme, doux, chaleureux, le lit est moelleux, les bras de sa chérie sont tendres.
Christine cligne des yeux, regarde à côté d’elle, et fait glisser un ...
... peu les couvertures pour voir si elle ne rêve pas. Non, c’est bien elle. Encore endormie, Ophélie lui semble fragile, mais terriblement belle, et lorsqu’elle finit par ouvrir les yeux, sa chérie lui sourit, elle est heureuse, elle l’embrasse tendrement.
Le petit-déjeuner pris tardivement, les filles ont squeezé la promenade en ville pour se détendre à la villa. La piscine n’a pas encore profité du soleil de plomb, mais à vingt-sept degrés elle reste agréable, elles peuvent s’y rafraîchir entre deux moments de bronzette. Adossée sur le transat, Ophélie est plongée dans un roman d’Edgard Poe, tandis que sa belle-sœur, allongée près d’elle sur un matelas, consulte distraitement son téléphone. Le mail d’Ophélie à son mari lui revient en mémoire. Lorsqu’elle repense à ces mots : ordres, perversions, totalement soumises, contraintes ; une douce chaleur envahit son corps. Des flashs lui traversent l’esprit comme si un tapis au fond d’elle-même, ces désirs étaient enfouis depuis longtemps et insidieusement apparaissent au contact de sa belle-mère. Ce fantasme de soumission attise sa libido, soumettre Ophélie devient une évidence.
Aussi, quand elle fait ce constat, elle imagine déjà tout le plaisir qu’elles prendront à deux, et réfléchit à la manière dont elle va inciter sa belle-sœur à rentrer dans ce jeu. Perdue dans ses pensées, elle ne voit pas passer la matinée, aussi, c’est l’heure de manger pour partir à la plage. Le repas de crudités expédié rapidement, elles s’entourent ...