1. COLLECTION COCU. Sophie. Début de la saison II (6/10)


    Datte: 25/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... maître-nageur ce monsieur m’importune.
    
    Il bande dans mon dos, faite qu’il me laisse où je crie.
    
    - Salopes-tu t’échappes encore, je pars, mais je t’aurais.
    
    - Monsieur, je viens d’entendre ce que vous avez dit à la dame.
    
    C’est ignoble sortez et partez autrement j’appelle la police.
    
    - Je t’attends devant, il faut que je te parle.
    
    En sortant il m’est impossible de m’échapper sans faire un scandale, je suis d’une nature discrète et mon travail à l’hôpital souffrirait d’un scandale fait sur la voie publique.
    
    Bien sûr un homme est plus vite en situation qu’une femme.
    
    Comme il me l’a dit, il est là à m’attendre.
    
    - On va boire un verre, l’eau de la piscine m’a donné soif.
    
    Un café terrain neutre, aucun risque que je me retrouve sur une table devant tout le monde avec la bite d’Antoine en moi.
    
    Vas-y, tu en meurs d'envie.
    
    Tu penses bien, si tu entres dans ce café tu seras en sécurité.
    
    Ça fait longtemps que je ne l’avais entendu celle-là, bien sûr la noire voulant que je cède.
    
    De toute façon je serais là pour veiller à ce que tu gardes les pieds sur terre.
    
    Une fois attablé derrière la vitre voyant les gens passer sur le trottoir, c’est un homme un peu déboussolé qui s’adresse à moi.
    
    - Antoine que t’arrive-t-il, tu sembles triste.
    
    - Je suis une merde.
    
    - Pourquoi ...
    ... dis-tu cela, tu es un gars sympa ?
    
    - Un gars sympa qui a des ennemis qui sont allés à la direction de mon travail pour dire que j’étais en arrêt illicite.
    
    - C’était vrai ?
    
    - Oui, mais je m’en suis sortie.
    
    - Tu peux m’expliquer, Aurélie m’a dit que tu avais volé un arrêt de maladie.
    
    - C’est un peu vrai.
    
    Celui qui est allé leur dire avait un manque d’information que je veux éviter de te dire.
    
    - Alors pourquoi viens-tu pleurer sur mon épaule !
    
    - C’est vrai, mais toi je t’aime alors qu’avec Églantine seule le sexe l'intéresse.
    
    - Églantine le.
    
    - Oui, docteur marié avec le docteur qui travaille dans le service cardio et que j’ai rencontré un soir dans un bar de nuit du centre-ville.
    
    J’ai eu une belle aventure car son mari la trompait avec une des infirmières de son service.
    
    - Je la connais !
    
    - Moi-même son nom m’est inconnu.
    
    Quand la responsable du personnel l’a appelé, elle a dit que c’était elle qui avait signé mon arrêt.
    
    - Tout est bien qui finit bien.
    
    - Non, cela se terminera quand je te prendrais dans mes bras que je te susurrerais des mots tendres.
    
    Je te baiserais comme une bête que je vais devenir à force de patiences pour que nous nous aimions quand se sera fait.
    
    Tu divorceras, je t’épouserais, tu es la femme de ma vie et je t’aime comme un fou… 
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