1. Une infirmière dévouée


    Datte: 25/02/2020, Catégories: Mature, Première fois Auteur: mayday3415, Source: xHamster

    ... cette fois-ci, approche le fauteuil visiteur du lit et me dit ‘Si vous n’avez pas envie de dormir, on peut discuter un peu vous n’êtes que trois à l’étage c’est très rare et les deux autres sont sous morphine et dorment profondément.
    
    Naturellement, elle repose sa main sur mon sexe toujours brandi et le caresse légèrement tout en se mettant à me raconter sa vie. Elle a toujours été enveloppée et les hommes l’ont beaucoup courtisée essentiellement pour baiser ses formes généreuses, mais aucun n’a jamais voulu partager sa vie, alors elle a pris un gros chien, s’est acheté des godes et se contente d’aventures de passage dont elle sait qu’elles ne dureront que le temps que le mec éjacule dans sa bouche souvent, dans sa chatte de temps en temps, mais surtout dans son cul.
    
    Oui les hommes vous aimez ça enculer un gros cul et pour être franche, j’aime être enculée.
    
    Je suis surpris de son langage direct et mes yeux le montrent. Je vous choque ? dit-elle ! Non je ne suis pas choqué, juste surpris qu’elle me confie à moi qu’elle ne connait pas tant de choses intimes et j’avoue que cela me séduit cette franchise. C’est là que Colette me dit ‘ en fait je vous connais un peu vous avez tellement déliré en racontant votre vie, vos peines de cœur et vos rêves avant de vous réveiller et vous savez dans ces moments les personnes qu’on a endormi ne trichent pas et se dévoilent complètement et j’ai aimé votre histoire dit elle tout en continuant cette caresse légère qui va de mes ...
    ... bourses qu’elle masse doucement jusqu’à mon sexe qu’elle effleure et caresse avec légèreté.
    
    Puis subitement comme si elle regrettait d’en avoir trop dit, elle se lève et me dit ‘ bon mon service finit bientôt, je vous dis à la nuit prochaine, puisque vous êtes là pour plusieurs jours et dans un élan impulsif elle se penche, ouvre ses lèvres et aspire mon gland qu’elle presse et mouille de sa langue.
    
    Déjà elle est partie, prenant presque la fuite, comme honteuse d’avoir tant osé.
    
    La nuit se finit sans que je puisse fermer l’œil et c’est une journée interminable qui la suit, pendant laquelle je ne pense qu’à Colette sa bouche ses seins et son cul.
    
    Enfin le soir tombe, les repas et les médicaments ont été distribués et à l’agitation dans le couloir, je suppose que c’est le changement de service. J’attend une heure et n’entendant plus de mouvement, j’active ma sonnette d’appel.
    
    Après une minute qui me parait interminable, la porte s’ouvre enfin et Colette apparait toujours vêtue d’une blouse blanche, si ce n’est que celle-ci a des boutons pressions nacrés., au lieu des classiques boutons blanc à boutonnières. De plus ceux du haut ne sont pas fermés et laissent voir le sillon profond et généreux de sa poitrine.
    
    Colette s’approche de mon lit et s’est naturellement qu’elle se penche pour me faire une bise sur chaque joue, me laissant par la même occasion découvrir qu’elle n’a pas de soutien-gorge et que ses seins volumineux et très blancs sont une invitation à être ...