Une envie de fraises
Datte: 25/02/2020,
Catégories:
Enceinte,
cocu,
fh,
couleurs,
inconnu,
magasin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Oral
pénétration,
Auteur: Bastien, Source: Revebebe
... quoi bon se mentir, l’humidité qui envahissait maintenant sa petite culotte n’avait rien à voir avec la température. Elle sentait la douce chaleur s’emparer de son bas-ventre tandis qu’elle gardait la pose. Elle voyait ses seins déborder presque du décolleté.
— Puis-je vous aider, Madame ?
Elle sursauta en entendant ces quelques mots. L’homme s’était approché et se tenait maintenant face à elle, de l’autre côté du présentoir qui lui arrivait à mi-cuisses. Aussi, le regard montant de Solange se figea sur le jogging déformé de l’homme. Déformé par ce qui semblait être une imposante érection, dirigée vers sa cuisse gauche. Il lui fallut quelques secondes pour décrocher ses yeux du renflement et les lever finalement vers l’homme qui arborait un sourire en coin.« Côté discrétion, je repasserai ! » songea-t-elle. L’homme au sourire charmeur attendait sa réponse, ses yeux ne quittaient pas les siens.
— Excusez-moi ? se reprit-elle enfin.
— Puis-je vous aider ? Vous sembliez indécise, reprit-il.
— Ah, euh… Effectivement oui. Mais j’allais me décider, répondit-elle, pivoine.
— Dans ce cas, permettez que je vous aide. Votre panier semble lourd et je ne voudrais pas voir une femme enceinte se fatiguer sans intervenir.
— Ne vous ne faites pas, ça ira ; je vous remercie, répondit-elle.
— D’accord, mais n’hésitez surtout pas, je suis à votre disposition. Je suis là pour ça, après tout, ajouta-t-il, le sourire aux lèvres.
— « Là pour ça. » C’est à dire ? s’enquit ...
... Solange.
— Eh bien je travaille ici. Même si je passe plus de temps à m’assurer qu’il n’y a pas de vols, je peux aussi aider une jolie demoiselle à porter son panier lorsque l’occasion se présente.
— Ah, oui… Je ne vous avais pas remarqué en entrant, désolée.
Tout en discutant, Solange étudiait cet homme au beau visage. De petites fossettes creusaient ses joues. Il était galant, un peu flatteur, et cela ne lui déplaisait pas. Elle en venait même à oublier le trouble qu’elle avait ressenti en devinant la forme de son sexe gonflé par sa faute. Cet homme était poli, et quelque chose dans ses yeux et dans son sourire lui plaisait, l’intriguait même.« Un petit coup de main ne serait peut-être pas de refus… » se dit-elle ; et prolonger l’échange avec cet homme n’avait rien d’interdit. Par ailleurs, à force de tourner dans les rayons, portant son ventre rond, elle ressentait effectivement de la fatigue.
— C’est vrai que ce panier commence à peser. Je n’ai pas beaucoup de route à faire jusqu’à chez moi, mais un peu d’aide pour l’emmener jusqu’à la caisse serait bienvenue ! ajouta-t-elle, le sourire aux lèvres.
— Dans ce cas, vous permettez ? poursuivit-il en contournant l’étal dans la direction.
Pour la première fois depuis qu’il lui avait adressé la parole, elle vit ses yeux quitter les siens pour se poser sur son corps, et elle sentit ses tétons se raidir plus encore sous son regard.
— Voilà, il ne vous manque plus que la viande, donc ? questionna-t-il en se saisissant du ...