Mâle reproducteur (3)
Datte: 24/02/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: yug0lit0, Source: Xstory
... qu’il est possible de faire pour s’amuser tout en faisant son devoir ». Je me suis foutu à poil, je me suis allongé moi sur le dos, elle au-dessus et on s’est longuement embrassé tout en se touchant l’un l’autre. Ensuite, elle m’a sucé puis je l’ai arrêté pour la lécher et lui palper ses nibards en même temps alors qu’elle s’était assise sur mon visage. Enfin elle a pris ma place pour s’allonger sur le dos et je l’ai recouverte. Contrairement à la précédente, je lui faisais face pour l’embrasser. En plus je prenais mon temps pour faire durer ce moment. Pendant que je la galochait, j’enchaînais les coups de reins à allure diminuée. Elle me regardait avec des étoiles dans les yeux et un large sourire. Quand j’ai senti que ça allait venir, là, j’ai accéléré. Je l’entendais baragouiner des mots, sûrement dans sa langue natale et je lui répondais « Désolé ma belle mais je comprends que dalle ». Quand j’ai joui ça s’est entendu dans la pièce. Il faut dire que c’était sûrement une des meilleures baises que j’ai connue.
Quand elle est partie, je voyais mes fils qui faisaient la gueule. Certains voulaient vraiment essayer. Je leur ai promis alors que pour la prochaine on tirerait au sort. Mes quatre gaillards que j’avais devant moi, voulaient tous essayer. Le premier eu droit à sa première saillie devant nous lors de ma séance du soir. J’ai ensuite promis que les autres auraient chacun droit à leur tour de manège, sur mes séances du lendemain.
Le lendemain, pour moi c’était ...
... chômage technique. J’ai laissé faire les nouveaux. La première était une jolie africaine, bien sculptée. Celui qui s’est glissé entre ses cuisses était ravi. La deuxième était une femme quelconque visiblement du Maghreb. Ça c’est bien passé. Quand est venu le tour du dernier de tirer son coup, il a déchanté. On s’est retrouvé devant la caricature de « Mama Boubou ». 90-60-90 ... et l’autre jambe pareille. C’est clair que le rejeton, il n’était pas content mais il allait falloir y aller. « Qu’est-ce que tu crois ? Moi aussi je me suis taper des thons mais t’as pas le droit de refuser » lui ai-je dit. Il s’y est résigné mais sans enthousiasme. A la fin de cette dernière journée, ils étaient prêts au service. Ils m’ont tous remercié en m’appelant papa mais je les ai rectifiés. « Ecoutez les gars,... Je ne suis pas votre père. Uniquement votre géniteur. Moi, je n’ai fait que planter ma graine c’est tout alors appelez-moi par mon prénom s’il vous plaît ».
C’est comme ça que, chaque semaine, des nouveaux arrivaient. Chaque géniteur devait les mettre « en service » pour qu’ils puissent passer en mode « production » ... ou plutôt reproduction dans le cas présent.
A cause de ma condamnation pour avoir voulu quitter le centre sans permission, nous étions quatre à devoir rester plus longtemps. Presque tous nos amis du premier groupe d’origine avaient pris leur retraite. Je recevais des nouvelles de certains d’entre eux et en particulier Raoul. Il m’avait dit avoir rencontré bon nombre ...