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Toilette intime par une plantureuse infirmière - 2
Datte: 24/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Bgp, Source: Hds
— Je vais te laver les cheveux pour commencer. La température te convient ? — Oui ! C’est parfait. Je bascule ma tête à l’arrière pour que la géante humidifie mes cheveux avec sa main immense. Elle est si grande que ma tête tient quasiment dans sa paume et ses doigts rejoignent mes deux tempes. Elle caresse mon crâne avec douceur même si sa puissance lui échappe parfois et que je la sens capable de me briser le cou sans forcer. Elle ajoute ensuite le shampoing, le fait mousser puis me rince abondamment. Mon érection n’en finit pas. Tout chez cette femme irradie de sensualité. Ce sentiment de force qu’elle dégage et la facilité avec laquelle elle m’a porté m’excite de plus en plus ! Je me sens si faible, assis totalement nu devant elle. J’ai beau tenter d’imaginer que c’est l’infirmière qui a du poil au menton pour me faire débander, mais la moindre sollicitation de la géante éjecte cette image pour la remplacer par celle de son corps splendide. — C’est bon. Tes cheveux sont tout propres. Ils sont tout doux en plus. Je ne vais pas pouvoir te doucher, je ne voudrais pas mouiller tes pansements. Je vais te laver au gant. Et voilà ! Il n’en faut pas plus pour que mon sexe se mette à goutter d’excitation : imaginer cette amazone qui va caresser mon corps de sa main puissante. Je relève la tête et essuie mes yeux humides. Ma vision encore trouble me laisse croire à un mirage, mais c’est bien la réalité. La belle a trempé tout son buste en me lavant ! La blouse qui ...
... moulait déjà tellement ses formes avantageuses pour ne laisser que peu de place à l’imagination est maintenant devenue quasi transparente ! La dentelle de son soutien-gorge est visible, surtout ses vastes et sombres aréoles, ainsi que ses tétons charnus. Mon sexe est luisant de liquide séminal tant je suis excité. Elle enfile un gant sur sa main droite, le savonne, et commence à frotter mon corps avec. D’abord mon visage qui disparaît dans sa paume, puis mon cou de cygne si fin que ses doigts peuvent presque en faire le tour, et mes frêles épaules qui ont du mal à résister à la puissance qu’elle applique. Elle semble troublée par mon pénis qui même s’il n’est pas énorme ne désenfle pas. Elle me fait même un peu mal, ma peau rougit sous la caresse râpeuse du gant et mes os craquent parfois. Je me sens obligé de la prévenir. — Pouvez-vous frotter un peu moins fort s’il vous plaît ? — Oh Oui ! Pardon. J’ai l’habitude de laver le taureau quand mon père va au salon de l’agriculture ! Tu es bien moins costaud. A l’évidence, cette solide fille d’éleveur ne maîtrise pas toujours sa force, d’autant plus que son regard a du mal à se détacher de mon petit sexe dressé et luisant. Sa main descend sur mon buste qu’elle frotte avec plus de douceur. Elle lave ensuite avec beaucoup de délicatesse les pourtours de ma cicatrice, puis descend à hauteur de mon pubis qui commence à peine à se recouvrir de poils. Je me demande si elle va oser aller plus bas quand mon pénis disparaît ...