La femme de mon employé, partie1
Datte: 24/02/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: July2, Source: Hds
... tu crois pas qu’ils sont peut être en train de faire ce qu’on fait ?
Je l’attrape par les cheveux et la relève avant de la pousser vers la porte d’entrée. Elle ouvre de grands yeux de surprise avant de me sourire malicieusement quand son dos cogne contre le bois.
- Je préfère ça, dit-elle alors je la saisis par la hanche pour l’attirer contre moi.
Je fourre mon visage dans son cou et passe ma main libre sous son top. Elle passe sa main dans mes cheveux et les tire doucement.
Je la soulève et elle passe ses jambes autour de ma taille. Je la porte jusqu’au canapé. Quand je la pose, elle me pousse pour que je me mette assis. Elle se penche au-dessus de moi et me murmure :
- Fais toi du bien en attendant que je m’occupe de toi…
Elle attrape ma main et la pose sur ma queue.
Elle se redresse et commence à déboutonner son haut, lentement, ses yeux rivés aux miens. Comme je le pensais, sa poitrine est refaite, mais elle donne envie d’y plonger. Elle laisse tomber son top à ses pieds et fait de même avec sa jupe. Elle ne porte plus rien d’autre que son string maintenant.
Elle pose son regard sur ma main qui fait des va-et-vient le long de ma queue. Alors qu’elle s’approche de moi, je retire ma main et elle se met à califourchon sur moi. Elle se laisse glisser le long de mon érection faisant que je la pénètre profondément à travers son string fendu.
Ses lèvres se posent sur les miennes et nos se cherchent. Sans délaisser sa bouche, je parcours sa poitrine à ...
... pleines mains, titillant ses tétons pour les faire pointer entre mes doigts. Elle gémit de plaisir quand je les pince un peu plus fort. Elle ondule son bassin au rythme de mes coups de reins, frottant ainsi son clitoris sur mon plateau pénien. Après quelques instants, elle agrippe à nouveau mes cheveux, les tirant cette fois un peu plus, tout en jouissant.
Je la fais descendre de moi et lui demande de se mettre à genoux sur le canapé, penchée en avant sur le dossier. Je me mets debout derrière elle, les mains sur ses hanches et la pénètre violemment. Elle pousse un petit cri de surprise avant de gémir et de jouir. Je donne encore quelques coups de reins avant de gicler en elle.
Je me laisse tomber dans le canapé, et elle se colle à moi.
- En fait fallait t’énerver pour que tu te lâches. Et je suis pas déçue, t’es un coup d’enfer, dit-elle en caressant ma queue du bout des doigts…
- Tu peux partir maintenant s’il te plaît ? Je lui demande.
Elle se redresse un peu et me regarde un peu déçue. Elle se rhabille rapidement.
- Pas la peine de me raccompagner, je connais le chemin. Mais si jamais l’envie de recommencer te viens, appelle Paul, il fera passer le message. Et je serais ravie que tu me prennes comme une chienne de nouveau.
Je ne réponds pas, ne la raccompagne pas et ne la regarde même pas quitter mon loft. Quand j’entends la porte claquer, je me prends la tête dans les mains.
Habituellement, un coup comme elle, j’aurais rien eu contre un deuxième ...