L'éducation de Marie (2)
Datte: 23/02/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: yphos, Source: Xstory
... parcours plus long que d’habitude.
Alors que je la pistonne, elle se complaît à faire de nombreux détours et même à refuser d’avancer pour m’obliger à lui claquer les fesses ou pour lui donner des coups de reins plus prononcés.
Ce soir, elle s’affale à plat ventre sur la moquette, avant d’atteindre la gare, et son deuxième orgasme monte quand je tire fort sur sa queue de cheval. Je continue malgré ses gémissements d’orgasme, à la labourer sauvagement, jusqu’à éclater en elle.
Alors que je m’allonge sur son dos, elle souffle :
— Comme tu sais bien me baiser, mon salaud, tu sais que je n’ai pas envie de te lâcher, toi !
— Et moi… j’adore te bourrer le cul, espèce de grosse salope !
Cette grossièreté fait partie de notre relation intime. Elle adore réellement quand je l’insulte ou la maltraite !
Si Carole est ma cheffe, nous ne parlons jamais du boulot à la maison et inversement, au travail je reste très courtois avec elle, comme s’il s’agissait de deux personnes différentes.
Il y a la « Carole Jekyll » la sérieuse, et la « Carole Hyde » totalement débridée.
Plus tard dans la soirée nous remettons le couvert, mais cette fois, elle préfère être au-dessus pour entamer une sacrée chevauchée sur mon sexe.
…
Le lendemain matin, samedi, je rêve de Marie et, en m’éveillant, je bande comme un âne. Je comprends vite que Carole s’est penchée sur moi pour me sucer à fond de gorge.
Ses caresses et sa maîtrise technique sont tellement efficaces que je ne ...
... tarde pas à lui remplir la bouche de ma semence. Elle se redresse fièrement en déglutissant mon jus, puis me dit très sérieusement :
— J’avais besoin de tes vitamines ! Maintenant, je dois aller chercher mon fils chez mon ex. J’ai préparé ton petit déjeuner. A lundi…
— Tu pars déjà ?
— Oui, je veux que ce connard puisse sentir mon haleine parfumée au sperme. Au fait, tu as beaucoup parlé cette nuit
— Ah bon ?
— Oui, une dénommée Marie revenait souvent. C’est la fille dont tu m’as parlée ?
— C’est bien elle !
— Espèce de salaud ! Tu me trompes dans tes rêves !
— Et toi, grosse pute, tu ne trouves rien de mieux que me sucer pour te venger ! Espèce de pourriture !
— Humm ! J’adore quand tu me dis des mots tendres.
— Dégage poufiasse !
— Tout de suite, mon chéri. A lundi donc !
Elle arbore un large sourire, puis nous pouffons de rire tous les deux en même temps.
Je me sens de bonne humeur ce matin, non pas d’avoir passé la nuit avec ma maîtresse, mais plutôt de savoir que je vais retrouver Marie.
Après ma toilette, je prépare le nécessaire au remorquage de sa voiture.
Marie répond à mon texto, presque immédiatement, qu’elle est prête. Et me voilà en route pour la retrouver…
…
Elle porte un pantalon qui moule avantageusement ses jambes, son buste est mis en valeur par son haut, même si il est peu sexy.
Alors qu’elle me fait entrer dans son studio, je lui tends les bras dans lesquels elle se précipite.
Notre baiser est tendre ...