1. Une soirée à trois annulée


    Datte: 23/02/2020, Catégories: Anal Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... remontée jusqu’à mes seins et il a cramponné le droit pour se mettre à le malaxer.
    
    Puis il a dit :
    
    – En vous traitant de salope, par exemple ?
    
    – Oui.
    
    – En vous traitant de quoi d’autre ? dit-il en pinçant mon téton.
    
    – De petite salope et de suceuse.
    
    – Mmh… a-t-il fait en m’embrassant sur la joue, tendrement. Et irait-il jusqu’à s’imaginer que je t’ai demandé d’enlever ta chemise et ta jupe, afin que je touche ton cul de salope ?
    
    – Oui, il irait sûrement jusque-là.
    
    – Alors fais-le, et ensuite viens sucer ma bite.
    
    La minute suivante, j’étais à quatre pattes devant lui, en sous-vêtements, et je passais ma langue sur la fente de son gland. Il avait baissé son pantalon et son caleçon à ses chevilles. Il continuait de me malaxer les seins, tour à tour, tout en déposant des baisers dans mes cheveux.
    
    – Qu’imaginerait d’autre ton compagnon ? dit-il au bout d’un moment.
    
    Je l’ai regardé dans les yeux, tout en le suçant pour de bon, puis j’ai lâché sa queue le temps de répondre :
    
    – Il serait capable d’imaginer que vous m’avez pénétrée sans protection et embrassée sur la bouche avec la langue.
    
    – Tu veux dire avec la langue bien baveuse et ma bite raide au fond de ta chatte ?
    
    – Oui.
    
    Je me suis remise à le sucer, puis il a dit :
    
    – Fous-toi à poil.
    
    J’ai obéi.
    
    Tandis qu’il se déshabillait aussi, j’ai ôté ma culotte avant mon soutien-gorge. J’ai toujours trouvé ça plus excitant que l’inverse. L’inverse est trop convenu, trop classique. Dès ...
    ... la première fois, quand j’étais au collège, j’avais choisi d’enlever d’abord ma culotte. Il m’est aussi souvent arrivé de baiser sans enlever mon soutif.
    
    Mais j’ai obéi à Jacques : j’ai tout enlevé.
    
    Lui aussi.
    
    Il est resté dans le canapé et je me suis mise à califourchon au-dessus de lui. J’ai guidé son gland jusqu’à mes lèvres, puis je me suis enfoncée sa queue dans la chatte. Il a pris mes fesses à pleines mains, puis on s’est mis à se rouler des pelles en bavant et en gémissant. Il avait une assez grosse bite, très dure, et moi je me tripotais les seins en me faisant baiser.
    
    De temps en temps, entre deux filets de salive, il disait :
    
    – Tu es une belle salope.
    
    Et je lui répondais :
    
    – Oui. Dites-le-moi encore.
    
    Plus tard, dans le lit où je dormais depuis sept ans avec Laurent, sous les draps, Jacques m’a sodomisée. Ensuite, il m’a reprise par devant et on s’est remis à s’embrasser avec la langue.
    
    J’aimais qu’il me tutoie, alors que je le vouvoyais. Je l’avais souvent fait avec des hommes mûrs. J’aimais cette différence d’âges et ce qu’elle voulait dire dans mon fort intérieur.
    
    Puis nous avons fait une pause.
    
    Tout nus, nous avons regagné le salon et j’ai vérifié l’heure qu’il était.
    
    Jacques s’est remis dans son fauteuil et je me suis rassise dans le canapé. Nous nous sommes resservis des kirs. J’étais en sueur, lui aussi.
    
    Au bout d’un moment, il m’a demandé :
    
    – Es-tu toujours d’accord pour passer une soirée à trois ?
    
    J’ai aussitôt ...
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