Delilah Desire : une bataille
Datte: 22/02/2020,
Catégories:
religion,
nympho,
bizarre,
fdomine,
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Talaff, Source: Revebebe
Résumé des chapitres précédents : Delilah Desire, ancienne esclave sexuelle du démon Nargulh, a brisé ses chaînes et s’est enfuie. Désormais à la tête d’une armée de hors-la-loi et de parias, elle a décidé de mener une guerre contre son ancien maître, afin de prendre sa place sur l’échiquier politique du royaume. Armée d’une épée magique et épaulée par Koloss, un démon aussi gigantesque que puissant, Delilah décide de tester ses forces en s’attaquant à une ville voisine…
Koloss bondit en avant et écrasa de toute sa masse cinq soldats en même temps, tel un char de guerre vivant. Il rugit, sa peau noire comme une ombre, désormais rouge sang, et faucha de ses griffes un sixième garde qui essayait de fuir.
L’armée d’Erolt était en déroute, et celle de Delilah, bientôt victorieuse.
Les cadavres recouvraient le champ de bataille, une plaine brumeuse d’un kilomètre de long qui servait de défense entre la ville d’Erolt et le reste du duché de l’Ouest. Il faisait froid, ce matin-là, mais les soldats de Delilah bouillonnaient de fureur, et de la joie de tuer… Et de gagner.
À l’arrière de l’armée de Delilah, plus loin des murailles entourant la ville, cinq jeunes femmes, armées d’épées courbées et de lances mais presque nues à l’exception d’un long pagne rouge et d’une bande de tissu sur la poitrine, se battaient en silence, chacun de leur geste ressemblant au pas d’une danse parfaitement maîtrisée. Les coups étaient portés pour tuer, à la gorge, au visage, au cœur. À ...
... chacun des mouvements de ces furies meurtrières, un soldat d’Erolt tombait.
Trente mètres plus loin, debout sur une pile de cadavres, Delilah Desire souriait. Ses cinq élèves, ses tueuses, sa garde rapprochée… Elle les avait bien éduquées, depuis que toutes avaient fui Nargulh…
Delilah était en retrait de la bataille et admirait son armée gagner. Un léger orgasme de joie faisait palpiter son sexe. Elle était entièrement nue à l’exception d’une cape pourpre grande ouverte, et son corps était couvert de peintures de guerre, souvenirs de sa tribu d’enfance, que l’une de ses tueuses lui avait dessinées avec le sang des premiers ennemis anéantis. L’odeur métallique du sang de ses proies coulant sur sa peau ne faisait que renforcer le bouillonnement entre ses jambes.
Trois cavaliers d’élite d’Erolt contournèrent la bataille, et dirigèrent leurs chevaux blancs vers la maîtresse de guerre et l’homme qui l’accompagnait. Ils se tournèrent vers ces nouvelles menaces, qui approchaient en hurlant.
— Essayez ce que je vous ai montré, dit l’homme.
Le coin des lèvres de Delilah se haussa de quelques centimètres, en un début de sourire, et elle leva l’arme qu’elle tenait dans sa main droite. Une épée brillante, à la lame fine et légère. Au centre du métal, à peine visible, une longue fiole de verre avait été soudée dans l’arme, et à l’intérieur de celle-ci circulait le courant magique qui, depuis la main de la jeune femme, pulsait dans l’épée.
Son épée. Son arme. Celle forgée par ...