La nièce
Datte: 22/02/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
Oral
pénétratio,
fsodo,
exercice,
Auteur: Caracole, Source: Revebebe
... son tour vers l’autre sein. Anaïs se cambra légèrement et ses fesses touchèrent sa verge gonflée.
Jean-Michel prit plus fermement les seins, en même temps qu’il lui picorait le cou de baisers. Il avança son bassin pour mieux lui faire sentir à quel point il la désirait. Alors l’une de ses mains descendit le long du ventre pour plonger sous la culotte et y chercher son sexe déjà humide, pour ne pas dire trempé. Elle gémit.
La force de Jean-Michel, il le savait à présent, c’était d’avoir toujours été à l’écoute de ses partenaires. Il sentait au moindre frémissement de peau ce qu’il devait faire pour lui donner du plaisir et ce plaisir qu’il donnait, il le retrouvait en miroir, tant son excitation était basée sur la réaction de la femme.
Alors il sut qu’il ne devait surtout pas la tourner vers lui tout de suite, mais continuer de la caresser partout, collant son corps au sien. Puis il devina quand il devait descendre ses lèvres le long de la colonne vertébrale, jusqu’à trouver les fesses, qu’il avait débarrassées de la culotte en s’y agrippant avec ses mains. Il eut ensuite la certitude qu’il suffirait qu’il les embrasse pour que la jeune femme se penche légèrement en avant, lui donnant ainsi accès à ses trésors odorants. Il y plongea la langue et remonta plusieurs fois par de lentes et suaves progressions, des lèvres à l’anus, se délectant des saveurs parfumées qu’il y trouvait. Chaque retour à l’entrée du vagin inondait sa langue de mouille et provoquait chez sa ...
... partenaire le début d’un long frisson qui se transformait en tremblement une fois arrivé au beau milieu de la raie.
Ce ne fut qu’à ce moment qu’il usa de ses doigts pour caresser le clitoris qu’il ne pouvait pas atteindre avec la langue. Ce contact acheva de rendre folle de désir sa partenaire. Il suffit alors à Jean-Michel de se relever pour qu’elle se retourne et l’embrasse fougueusement, se jetant à son cou pendant qu’il lui saisissait les fesses.
Elle le poussa sur le lit et l’enjamba, son corps parfait se frottant au sien. Lui déboutonnant fiévreusement sa chemise, elle plongeait sa langue aussi profondément qu’elle le pouvait dans sa bouche, la respiration forte, saccadée de petits couinements d’excitation. Il était, lui, déjà tendu comme un arc lorsque, après avoir léché son torse épais, elle déboutonna sa braguette et fit jaillir son pénis pour l’avaler.
Sa fellation était empressée et maladroite, mais le sentiment grisant qu’elle s’y essayait vraiment pour la première fois de sa vie lui donna un plaisir insoupçonné. Lorsqu’il la releva, le pourtour de ses lèvres tout maculé de salive, il l’embrassa fougueusement et laissa sa verge frotter à l’entrée de son vagin.
Bien sûr, il aurait fallu un préservatif. Mais ni l’un ni l’autre n’avait envie de renoncer à la folie du moment, à cette violente pulsion qui les guidait tous les deux vers un plaisir jamais atteint, ni pour l’un, ni pour l’autre.
— Prends-moi. Prends-moi comme tu as pris ma tante cette nuit, lui ...